dimanche 10 août 2008


L'erreur de la Théorie quantique:
un raisonnement mathématique exact
basé sur un mouvement utopique.
et une proposition













Une nouvelle Physique classique
sur les pas d'Einstein
André Devacht, Georges Devacht et François Bonet
















Sommaire




1- Préambule page 2


2- Observations sur le Cours de physique Mécanique quantique de R. Feynman
Version française de M. B. Equer, Collège de France, Paris.
(édition de 1979 des cours donnés de 09-1961 à 1963 et complétés en 1964)
Edition Dunod Paris 2000, Inter Edition. Paris 1979 page 2



3- Observations sur la Physique quantique
de J. P. McEvoy et Oscar Zarate Edition Flamarion Février 2002 page 5



4- L'enseignement universitaire de la Physique quantique, actuellement.
Traité de Physique à l'usage des profanes, de Bernard DIU,
Professeur de Physique théorique à Paris VII.
Edition Odile Jacob Février 2001 page 16


5- Conclusions
page 18


6- Une nouvelle Physique classique

page 21


7- Bibliographie
page 28












1- Préambule


A l'aube du xx° siècle naissent successivement, deux théories nouvelles de physique, issues des observations en thermodynamique et électrodynamique. Certains phénomènes naturels se prêtent à l'évaluation par des mesures chiffrées. Ainsi naît une possibilité de quantifier certaines grandeurs de ces phénomènes.
Tout d'abord la Physique générale, par Albert Einstein et Max Planck, vers 1900, et ensuite la Mécanique quantique, par Bohr, vers 1908, après la naissance de la radiophonie.
Depuis, les expérimentations, les interprétations, les calculs, se succèdent pour essayer de comprendre les phénomènes naturels et permettre une vision de notre Univers.
Parallèlement les matériels nécessaires aux mesures ont évolué énormément, et cependant le flou demeure.
Les publications des meilleurs spécialistes en Physique, exposent leurs difficultés, l'un d'eux les résume ainsi:
La Physique quantique, c'est un paradoxe, tous les physiciens l'utilisent, mais personne n'est capable de lui donner un sens précis. (Etienne Klein, Regards sur la matière, Fayard, 1993).
Ayant remis en cause la pensée physique actuelle, la Mécanique quantique, par une étude du dilemme onde-corpuscule, et les idées exposées dans les messages précédents, je me propose de justifier mon point de vue.
Nous verrons que la difficulté principale est que la théorie de Mécanique quantique ignore 50% de l'énergie totale de l'Univers due à la force de gravité.
Cette théorie part d'une mauvaise interprétation des observations: la complémentarité, suivie d'un raisonnement mathématique exact basé sur un mouvement utopique.
Les développements de cette étude mènent à la proposition de modernisation de données imprécises, datant d'un siècle, c'est une Nouvelle Physique classique, sur les pas d'Einstein.



2- Mécanique quantique de Richard Feynman.


Richard Feynman, né en 1918, est à l'origine de l'enseignement de la Physique quantique en universités, après la dernière guerre, il est toujours une référence: un directeur d'université parisienne, consulté au sujet de cette étude, en 2003, m'a conseillé de la relire.
J'en retiens quelques extraits:


2_1_Préface de Feynman.
" Voici les cours de physique que j'ai donné l'année dernière et l'année précédente aux élèves de première année de l'université de Caltech." (1952-53) " Ces cours ne sont pas faits dans un ordre défini, il ya de nombreuses références à des choses à venir sans discussions complètes"


"L'ensemble est essentiellement une expérience, aprés une partie que l'on appelle habituellement les méthodes mathématiques de la physique, ..... puis une introduction à la Mécanique quantique. Il y avait également un cours sur le guidage par inertie, ..... mais qui fut malheureusement omis."

L'auteur termine par un avis assez pessimiste au sujet de cet enseignement.

Introduction de Matthew Sands.



Présentation des leçons dans un ordre différent et complété par Sands, les chapitres 20 et 21, puis, en appendice, des notions sur le magnétisme de la matière, le paramagnétisme et la résonance nucléaire.





2_2_Le comportement quantique, page 1,




"La Mécanique quantique est la description du comportement de la matière et de la lumière dans tous leurs détails et, en particulier de tout ce qui se passe à l'échelle atomique."




C'est un but à atteindre!


Et dix lignes plus loin,


"A l'heure actuelle nous avons abandonné ce dilemne, (onde-corpuscule) et nous disions qu'il


n'est ni l'un ni l'autre. Il y a heureusement une issue, les électrons se comportent exactement comme la lumière..... Ainsi ce que nous apprenons sur les propriétés de l'électron s'applique également à toutes les particules, y compris les photons de la lumière."


Feynman ne fait donc aucune différence entre bosons et fermions! On ne peut s'étonner de lire plus loin, page 354:





"Nous avons dit que toute particule de spin 1 peut avoir trois valeurs pour 'J', à savoir +1, 0,-1. Mais la lumière est un peu tordue, elle n'a que deux états."



Et 15 lignes plus loin:





"Une particule de masse nulle n'a , en général, besoin que d'un seul des deux états de spin."

Comprenne qui peut, mais pour essayer, revoyons:



Mécanique atomique.



La première expérience proposée, comparaison des interférences faites par une balle de fusil et une onde agitant la surface de l'eau.



Peu explicite.
La taille d'un atome, page 24:





"Nous allons considérer maintenant une autre application des relations d'incertitude. il ne faudra pas la prendre trop au sérieux: les idées sont justes, mais l'analyse n'est pas très précise."

Suit une explication de la pensée du chercheur: "sachant que l'électron tourne autour du noyau, quel est le rayon de l'orbite?"
Après un traitement en physique classique, par les dérivées:





"on obtient la valeur 0,528 Angström,..... Cette distance est appellée le rayon de Bohr,..... ce qui est joliment exact."

(il n'y a même pas d'incertitude!) .......



"Les atomes sont tout à fait impossibles d'un point de vue classique, puisque les électrons termineraient leur spiralisation dans le noyau."

Tout à fait impossible en physique classique? inertie et force centrifuge sont ignorées!




"Si maintenant nous substituons.....nous trouvons:
E = -e²/2a = -m/2h² = -13,6 ev
Que signifie une énergie négative? Ceci veut dire que l'électron a moins d'énergie lorsqu'il est à l'intérieur de l'atome que lorsqu'il est libre. ...."



faux !



"...Bien entendu les physiciens de jadis avaient inventé des moyens de sortir de ces ennuis, mais ne vous en préoccupez pas, c'est nous qui avons maintenant la bonne solution!........"



Hum! Cela veut dire que les physiciens de jadis connaissaient la force centrifuge et la force centripète mais il faut l'oublier!....l'expression mathématique est exacte, mais en physique le raisonnement est faux, car il n'existe pas d'énergie négative.
Et négligeant la force de gravité, prouvée par Einstein, au début du siècle.

Pour abréger, voyons l'effet Zeeman, pages 244 à 248.
Après un exposé mathématique détaillé de ce phénomène, suit une explication en physique:



page 448, 3° ligne



"Le déplacement des niveaux d'énergie d'un atome par un champ magnétique, est appelé: l'effet Zeeman. .......les transitions entre l'état V et l'un quelconque des autres états, s'accompagne de l'émission ou de l'absorption d'un photon, dont la fréquence est de 1.420 mégacycles correspond à la différence d'énergie 4A que multiplie l/h."



L'effet Zeeman, une observation de 1890, est un mouvement continu, une variation cyclique d'orientation du plan de moment magnétique d'une particule, il y a apparemment deux interprétations différentes,.... incertitude ou probabilité?



Il s'agit de l'exposé mathématique des questions que se posent les physiciens, au début du siècle, concernant le comportement des atomes. Ensuite l'évolution des idées telles la notion de spin de Dirac,ou de l'effet gyroscopique, en pensée mécanique quantique, mathématiquement.



L'auteur le dit lui-même, en préface, il s'agit de présentation des méthodes mathématiques de la physique.



Cependant ce cours est dense et très ''pointu'', c'est un excellent manuel d'application des mathématiques à la physique, y compris le calcul vectoriel, mais il semble que les promoteurs aient voulu partir sur des bases nouvelles, indépendantes de la physique classique. C'est l'époque de l'apparition de l'oscilloscope, puis de la possibilité d'observations de signaux électromagnétiques, une nouvelle technologie: la radio.



Deux sortes d'impulsion, page 449



Certaines définitions particulières à la physique quantique sont confuses, par exemple le terme d'impulsion. Nous savions, à cette époque qu'une impulsion, en mécanique classique, est le produit d'une force sur un mobile pendant un certain temps, quand la force cesse, la trajectoire est rectiligne, si aucune autre force extérieure n'intervient.



En électromagnétisme, l'énergie potentielle due à l'impulsion originale du photon se divise en deux moitiés, une force d'inertie et un moment magnétique, deux énergies potentielles. L'impulsion terminée, les vitesses sont constantes, vitesse de translation et vitesse de rotation.



S'il s'agit d'une particule telle un électron, les deux vitesses sont différentes mais constantes. Un apport d'énergie supplémentaire modifie les deux vitesses, l'inertie est variable pendant la durée de l'impulsion.




Le produit d'une masse par une vitesse n'est donc pas une impulsion, mais une force d'inertie, (l'erreur de De Broglie) ce qui rend difficile à comprendre le paragraphe 21-3 page 449.



La seconde impulsion est une construction «purement quantique», incompréhensible.



Ceci est la présentation des problèmes qui se posaient au début du XX° siècle.



Voici ce qu'il en est advenu au début du XXI° siècle:



3- Observations sur la Physique quantique



3_1_de J.P. Mc Evoy et Oscar Zarate



Pour en savoir plus, mon collaborateur François Bonet s'est procuré ce petit livre étonnant. En moins de 175 pages, il veut nous dire tout ce qu'il est nécessaire de connaître pour comprendre, du moins pour admettre la question. Et cela ''sans aspirine''.....c'est le sous-titre.
C'est un récapitulatif de physique, illustré de croquis et d'anecdotes, rappelant les acteurs et les dates importantes, mais aussi l'évolution de la formulation mathématique, en fonction des interprétations des observations expérimentales, en mécanique quantique, bien entendu.



Nous pouvons ainsi revoir la physique, depuis le XVIII° siècle, remarquer les différentes ''incertitudes'' de physique qui demeurent, éventuellement essayer de comprendre.



"Qu'est ce que la théorie des quanta?"




L'entrée en matière est ainsi conçue:


"Il s'agit de la théorie humaine la plus aboutie. Elle explique la table périodique des éléments, et le pourquoi des réactions chimiques. Elle prédit avec succès le comportement des lasers et des puces électroniques, la stabilité de l'ADN et la façon dont les particules α quittent le noyau par effet tunnel."



Les incertitudes permettent probablement de penser ainsi!




Puis, en médaillon, les figures de neuf protagonistes physiciens de l'époque, et quelques pensées.
Ensuite:


"La présentation de la théorie par Niels Bohr en 1927 reste d'actualité. Mais les expériences de pensée d'Einstein dans les années 1930, qui remettaient en cause sa validité fondamentale, sont encore en suspens. Pourrait-il avoir de nouveau raison? Manque-t-il quelque chose ? Commençons par le début."

page 8: Après le rappel des suppositions de la physique classique, le congrès de Solvay 1927, la formulation de la théorie des quanta, sont présentés, les neuf conférenciers. Pour toutes les personnes citées, figurent les dates de naissance et décès.



page 18: Les explications commencent par la thermodynamique, avec Joule, Clausius, l'existence des atomes avec Jean Perrin, les molécules de Maxwell, la mécanique statistique de Boltzmann, et la définition de l'entropie.



page 26: Rappel des trois expériences qui ne pouvaient s'expliquer en physique classique en 1930: la radiation du corps noir, l'effet photoélectrique, et l'atome de Bohr.
Explication des ces trois phénomènes: la radiation du corps noir étudiée par Rayleigh et Jeans mènent à la "catastrophe ultra violette."

page 33: Max Planck, utilisant la notion d'entropie, établit, expérimentalement, une valeur appelée constante de Planck.



Comme l'on dit: équivalent mécanique de la chaleur pour l'effet Joule, nous pouvons dire: c'est l'équivalent électromagnétique de la chaleur, (une quantification du rapport de deux grandeurs différentes.



Les courbes, les formules et des croquis humoristiques illustrent les pensées d'Einstein, pour le découpage de l'énergie. (1900).



C'est donc bien le découpage virtuel d'un flux continu. L'interprétation donnée est un paquet d'énergie par période hertzienne.



Et sur une dizaine de pages, sont relatées les réflexions de Planck puis l'appréciation des auteurs, je cite:

page 42: ".....De façon assez ironique la découverte fut accidentelle, provoquée par une procédure mathématique incomplète. Etrange départ pour l'une des plus grandes révolutions de la physique!



Ce début explique pourquoi il fallait utiliser les règles statistiques pour les atomes, pourquoi ces derniers ne brillaient pas en permanence, et pourquoi les électrons atomiques ne tombaient pas sur leur noyau."



Etrange dénigrement du travail d'un chercheur en physique classique, est-ce nécessaire pour mieux accréditer la mécanique quantique? Et, en 2002, ignorance de la cinématique!



Les incertitudes de Bohr, en 1926, les ignorances de Feynman, en 1952, laissent penser que ce fut volontaire. Les promoteurs de la Mécanique quantique, voulant créer une théorie indépendante de la physique d'Einstein (c'est la période des premières ondes hertziennes, et le début de l'observation à l'oscilloscope.)



page 44: La découverte de l'effet photoélectrique par Philipp Lénard, en 1902, permettant la mesure de la charge électrique de l'électron: q, nombre quantique.



page 47: En 1905, Albert Einstein, un jeune employé du Bureau des brevets de Berne, publie trois articles importants: l'un sur la relativité, un autre prouvant l'existence des atomes, le troisième sur les quanta de lumière et explique l'effet photoélectrique.



page 57: Milikan prouve la linéarité de l'extraction des courants cathodiques, en fonction de la fréquence des rayons lumineux, en 1915.



page 60: Explication de la spectroscopie, depuis les raies de Fraunhofer, en 1814, la découverte de l'hélium par Kirchoff et de l'hydrogène en 1862 par J. Angström.



page 67: En 1885, Balmer découvre la formule correspondante aux quatre raies visibles de l'hydrogène, permettant l'évaluation des fréquences.




C'est la deuxième observation de valeurs quantifiées: n



page 70: La découverte de l'électron, par J.J. Thomson, conduit à l'étude de l'atome.



page 72: Rutherford et Geiger, en 1908, découvrent que l'atome a un noyau, incroyablement petit et de charge positive.



page 78: Niels Bohr, en 1913, se rappelant la formule de Balmer, et les quanta de Planck, établit le premier modèle de l'atome d'hydrogène, et rencontre Nicholson.



page 83: L'explication de l'impulsion n'est pas exacte, le graphique montre un mouvement linéaire en vitesse accéléré par la gravité, il y a donc mouvement linéaire et accélération constante, ceci n'est pas l'explication de la conservation de l'impulsion.



En physique générale, en mécanique, un corps en mouvement uniforme, c'est à dire en vitesse constante, en déplacement linéaire, poursuivra sa course sur la même trajectoire, et présente ainsi une force d'inertie. Cette force se maintient, assurant la conservation de l'impulsion, tant qu'une autre impulsion ne modifie la vitesse.



Une impulsion nouvelle fait varier la vitesse, exemples: en linéaire, les accélérateurs de particules, et en courbure, les différentes orbites des électrons.
Ces notions de mécanique classique sont anciennes, mais en physique des particules, on peut ajouter que la force de gravité, centripète, s'oppose à la composante de l'inertie du mobile en rotation, une force centrifuge, en conséquence, le lieu d'opposition permanente, donne la forme de l'orbite, circulaire ou autre, en fonction des interactions environnantes.




C'est cette imprécision que l'on trouve chez R. Feynman, qui conduit à avoir deux formules d'impulsion, en mécanique quantique.



L'impulsion angulaire est donc cette utopie qui a rendu incompréhensible la Mécanique quantique en ignorant la gravité. C'est pourquoi les étudiants actuels se demandent si la terre tourne autour du soleil par miracle.



J. W. Nicholson avait quantifié le mouvement angulaire: L = m v r



Une interprétation de l'impulsion angulaire en Mécanique classique un raisonnement mathématique exact, basé sur un mouvement utopique.



Toute impulsion sur un mobile provoque un changement de vitesse, sur une particule en orbite, l'action est un saut quantique, démontré par Bohr, lui même: cela ne peut donc pas être la première orbite. Sur une particule en trajectoire rectiligne, une impulsion ne peut pas générer une orbite. Seulement une déviation de trajectoire.
page 85: Bohr en tire un premier postulat:








Mathématiquement exact, mais le physicien s'interroge:



Puis revient à la physique classique, établi la formule définissant le rayon des orbites stables des électrons:





Bohr a présenté une formule mathématique tenant compte de certaines grandeurs connues en électromagnétisme et en mécanique classique, confirmant les observations de Balmer, par la notion « d'impulsion angulaire », sans explication de la courbure.
Cette difficulté, (comme la première incertitude d'Heisenberg), s'est maintenue jusqu'à nos jours, en 2006, (l'unité d'énergie potentielle est toujours à l'étude.)


A noter que ceci montre que la notion de force centripète ne peut être prise en compte par la théorie proposée.

C'est le point de blocage de la Mécanique quantique.


Cette formulation tirée de l'énergie totale, ne permet pas de connaître, donc de tenir compte de l'énergie potentielle de gravité du noyau, responsable de l'orbite et de la cohésion des atomes; sans cette gravité, les atomes se repousseraient par l'effet électrostatique des électrons.


Il en résulte l'impossibilité de mener à bien l'étude des atomes, cela reste à faire.


L'attraction mutuelle des noyaux modifie les orbites électroniques des atomes voisins, ce qui permet, éventuellement 'les électrons de valence'. (Une image seulement d'un modèle des atomes est représenté par des bulles de savon soufflées. Les orbites théoriques forment des sphères par effet Coriolis, dont certaines parties déformées, sont communes. La couche limite est ici un effet tensoriel, des forces de gravité aussi. Ce modèle, fait de différents atomes, et de forces diverses, forment toute matière, liquide, solide ou gaz. )


Deuxième postulat, il établi la formule du photon correspondant à un saut quantique:
hf = E1 – E2.


page 89: Bohr dérivant la formule de Balmer, la constante de Rydberg:
R =(2π²m/), et le spectre de raies de l'hydrogène, peut alors décrire les orbites des électrons à l'intérieur de l'atome, et les différentes raies observées en spectrométrie.

page 90: Sommerfeld, pendant la Grande Guerre, propose les orbites elliptiques, ce qui ajoute un nouveau nombre quantique k quantifié en unités h/2π.


Mais aucune explication en physique.


page 92: Pieter Zeeman, en 1890, avait montré, par l'observation des raies spectrales, que le plan du moment magnétique avait une orientation variable en présence d'un champ magnétique. Sommerfeld, pour en tenir compte, proposa la quantification supplémentaire: m, et le croquis suivant:



Aucune explication supplémentaire, mais cette variation d'orientation du plan de moment magnétique est décrite dans le premier message (physique2005.blogspot.com), figure B, et c'est cette variation de l'orientation du plan de moment magnétique qui génère l'onde hertzienne observable, comme le montre le schéma 1, figurant le concept de cinématique gyroscopique des particules.


page 93: Ces trois nombres quantiques, n: taille de l'orbite, k: forme de l'orbite, et m: la direction de l'orbite, ne suffisaient pas, d'autres raies spectrales de l'hydrogène apparaissaient: l'effet Zeeman anormal.


Jusque là, bien que soit décrits des états quantiques « haut et bas » il n'était pas envisagé que l'électron puisse tourner sur son axe.


page 94: Wolfgang Pauli pense que l'électron tournoie, mais G. Uhlenbeck et Sam Goudsmit l'avait observé. Pauli l'attribue à un mouvement angulaire, le spin de valeur
½ (h/2π), mais donne une explication curieuse, incompréhensible du principe d'exclusion.


Ce changement permanent d'orientation: le spin, n'est pas associé à une rotation de la particule sur son axe, ce qui rend l'interprétation en physique difficile.


Ce mouvement angulaire est une caractéristique de la mécanique gyroscopique, la rotation en précession de la particule, objet du concept présenté dans le premier message de ce blog.


page 100: Pauli et Bohr analysent la table de Mendeliev confirmant l'effet de spin, et ne pouvant avoir comme valeur que haut ou bas.


Ignorant la cause de la cohésion des atomes, ce n'est qu'une probabilité quantique.


page 103: Bohr en déduit une table des liaisons électroniques correspondant à la table de Mendéliev, ce qui permet de mieux comprendre la chimie.


C'est un résultat très important, mais la cohésion des atomes, qui provoque ces liaisons est due au champ de gravité agissant entre les noyaux.


page 105: Retour à la physique classique avec l'origine de la question sur la dualité onde-corpuscule.
Tentatives d'explications avec une corde, et avec les ondes sonores.



page 109: Einstein se rend compte du dilemme, onde-corpuscule.

page 110: De Broglie, en 1924, tente une explication de ce phénomène: une onde associée à la particule; il propose le schéma suivant:




Ces idées de De Broglie ont été publiés dans Science et Vie n° 150 par Mme Cécile Bonneau.


A gauche, l'observation en caractères gras est compréhensible, mais à droite, l'interprétation est différente de celle que propose le concept actuel: l'onde de groupe est celle observée en ondes hertziennes, l'autre serait l'onde de matière, si l'on y ajoutait les effets Zeeman et autres. L'oscilloscope ne permettait pas encore de vérifier cette hypothèse (actuellement pas encore non plus, seuls les effets induits le proposent).


C'est une approche du concept décrit dans le premier message de ce blog. :



physique2005.blogspot.com



page 114: De Broglie reprend l'erreur classique en Mécanique quantique: il dérive la formule d'Einstein: E = mC², et trouve que: m représente l'impulsion, mais émet l'idée que si cela est vrai pour les photons, c'est vrai aussi pour les électrons ou autres particules.


Cela est donc vrai pour le photon parce que de masse nulle, la vitesse est immédiatement égale à C, mais une impulsion agissant sur une masse, provoque son accélération, la vitesse devient constante, et inférieure à C quand l'impulsion cesse (si aucune autre force n'intervient). Ce que confirma Lorentz.


page 120: En 1926 trois théories étaient présentées:
la théorie matricielle de W. Heisenberg,
la théorie mécanique des ondes d'E. Schröder,
la théorie en algèbre quantique de P. Dirac,
pratiquement équivalentes.

page 121: Heisenberg veut ignorer les orbites et par la physique classique, les raies Balmer, il trouve une théorie sous forme matricielle, tenant compte des effets quantiques connus, et découvre la première version de la théorie quantique complète, sans signification physique.


page 132: E. Schröder est influencé par De Broglie.



page 134: L'équation de Schrödinger présente une formule satisfaisant la théorie quantique: la fonction d'onde.





Ainsi l'onde est représentée par la lettre φ, éventuellement l'onde de matière, peut être traitée par l'analyse de Fourier.


Sans gravité du noyau, c'est une formule incomplète.

page 138:
De ce fait:






Et tout ça..... n'est pas suffisant: en plus de la force de gravité, complètement ignorée, il est encore, au moins un phénomène de physique générale qui n'est pas évoqué, c'est la troisième rotation due aux forces de Coriolis. Chaque électron tourne autour du noyau et tourne sur lui même, ce qui engendre la troisième rotation.
Cet effet est très important, il change le plan de l'orbite à chaque cycle, le lieu de ces rotations autour du noyau, forme une sphère pour chaque électron.


Page 141: je cite:
"Mais alors quelle est la relation entre la fonction d'onde d'une particule et la particule
elle-même? Dure question. C'était le dernier mystère qu'il fallait élucider dans le développement de la mécanique des ondes."


Bien vu, ne serait-ce que les forces scalaires du noyau, et la cinématique gyroscopique des particules, générant les ondes hertziennes dans le champ thermique résiduel, l'éther, le mesurande universel?



page 143: Une rencontre intéressante est ainsi relatée:





page 144: Max Born émet l'idée qu'il s'agit de probabilité en mécanique quantique.
Je cite:


"Born avait trouvé un moyen de réconcilier les particules et les ondes en présentant le concept de probabilité. L'onde détermine la chance qu'un électron se trouve dans une position particulière.
A la différence du champ électromagnétique, φ n'a aucune réalité physique."

C'est une approche du concept d'ondes associées, mais la dernière phrase est une erreur.
C'est l'explication donnée par Heisenberg, le deuxième principe d'incertitude.


page 156:
Cette observation confirme le fait que, seule l'onde de matière transporte l'énergie,et non l'onde observable. Cette différenciation n'a jamais été apportée par la physique quantique.



Ceci nécessite une explication en physique classique, pour combler cette incertitude.



a)_ Choisi au hasard? Non, mais par raison dimensionnelle, le projectile, la particule étant infiniment plus petite que la dimension de l'onde, mesurée ou calculée. De plus,


b)_ Un électron est une particule composite, le moment magnétique est chargé d'une masse et d'une charge électrique, formule classique que Bohr a retenu, au départ, page 87.


c)_ Le moment magnétique peut, comme celui d' un photon, être d'énergie variable, ce qui explique la possibilité des différentes orbites possibles des électrons, voir page 88.


d)_ Cette particule étant en mouvement gyroscopique, le centre de gravité de la masse n'est peut-être pas constamment sur la trajectoire, en raison des effets de gravité.

e)_ La masse est sous l'action d'attraction du noyau, et par la charge électrique négative, subit une attraction supplémentaire du noyau, de charge positive. Ceci en plus du champ de gravité dû à l'environnement.



f)_ L'orientation du plan de flux magnétique, valeur du spin, fonction du mouvement de précession, provoque la concentration du flux magnétique latéralement pour créer le signal hertzien, et provoque, théoriquement par réaction, une modification de la trajectoire en phase opposée avec l'onde observée.


page 146: Le chat de Schrödinger.


Cette proposition montre bien qu'une quantité d'énergie nécessite un volume, et l'incertitude de Heisenberg le démontre, impossible donc de la représenter par un point, la constante de Planck nécessite la notion de durée.


La notion d'état d'énergie en un point est une erreur de définition de la mécanique quantique, déjà remarquée au sujet de l'impulsion. Ces deux interprétations différentes de celles utilisées en physique classique sont incompréhensibles pour des physiciens.



Ces remarques, les erreurs d'interprétations, les constats de mesures non explicitées, laissent penser que les auteurs de cette théorie étaient des mathématiciens, peu expérimentés en physique classique.


page 152: Dirac invente la théorie des champs quantiques.


page 156: Le principe d'incertitude.


En 1927, Heisenberg fait une deuxième découverte majeure, je cite:


"pour localiser ou voir précisément un objet, la radiation lumineuse doit être bien plus petite que l'objet lui même. Pour un électron atomique, cela signifie que des ondes bien plus petites que l'ultra-violet, puisque le diamètre de l'atome d'hydrogène en entier n'est qu'une fraction de la longueur d'onde de la lumière visible."

Bien raisonné, mais c'est reconnaître que l'on ne peut voir ou représenter une quantité d'énergie par un point, (la notion d'état en physique quantique) et cela confirme l'explication donnée au sujet de ce que dit Born, page 145, en a).


page 160: La complémentarité.
Bohr constate la convergence des différentes théories mathématiques, de l'aspect onde ou corpuscule, et présente cette dualité sous le terme de complémentarité, ce qui deviendra l'interprétation de Copenhague.


Ce terme de complémentarité n'est pas plus précis que le dilemme de 1904, c'est le constat de blocage d'une certaine compréhension de la physique.


page 163: A la conférence de Solvay, en 1927, Einstein ne voulu pas accepter la théorie de la probabilité, et pensait qu'elle ne durerait pas.........il y a 80 années!

Puis, quelques rappels de controverses, le paradoxe EPR, le principe de localité, le théorème d'inégalité de Bell, qui n'éclairent pas la question, et pour terminer, l'avis de John Archibald Wheeler, né en 1911, professeur émérite de physique à l'université de Princeton.



L'auteur de cette publication a rencontré ce professeur, à la pointe de la physique du xx° siècle, en cosmologie relativiste ou théorie quantique depuis plus de 60 ans, et lui demande son avis. Pensant recevoir un consensus sur sa conclusion, la physique quantique, c'est du béton? Voici la réponse de ce physicien expérimenté:


"certains d'entre nous ne peuvent pas accepter toutes les explications implicites de l'interprétation des photons en corrélation, notamment la non-localité. Einstein aurait-il encore raison?"

Et bien oui,nous le pensons! Ce professeur est dans le doute, comme beaucoup d'autres physiciens spécialistes.



4- L'enseignement universitaire en Physique quantique.


Pour avoir une idée de la compréhension actuelle de la Mécanique Quantique, on peut consulter le livre du Professeur d'université Bernard DIU, professeur de physique théorique à Paris VII, un élève de Feynman, 'Traité de physique à l'usage des profanes (Odile Jacob, 2000)'.


Depuis 1927, cette théorie a fait l'objet de nombreuses mises à l'épreuve, certaines satisfaisantes et d'autres sans succès. C'est par une conception mathématique de physique particulière, liée à un certain nombre de postulats, exposés pages 469 à 475 que les physiciens parviennent à diverses interprétations, incompréhensibles en physique classique.
Quelques extraits:
"Après la physique classique, voici LA REVOLUTION QUANTIQUE"



page 465: "Voici venir maintenant la mécanique quantique dans toute sa gloire"


page 513: "Les particules sauf exception, sont donc douées, en relation avec ce comportement de toupie, d'un moment cinétique que l'on qualifie d' « intrinsèque », (pour des raisons évidentes) et que l'on appelle couramment dans toutes les langues du monde, leur spin. Mais la Nature a quelques fois de ces subtilités aucune des particules les plus fondamentales, on dit parfois « élémentaires », telles que l'électron ou le photon, ne virevoltent vraiment sur soi, la plus part pourtant possèdent un spin. C'est qu'il s'agit là d'une grandeur un moment cinétique purement quantique, qui n'a pas sa contrepartie en mécanique classique."



Et le mouvement gyroscopique de la toupie? connu depuis 1852, par Leon Foucault.



Après la présentation du raisonnement sur la les antiparticules.

page 558: "....Il suffit d'en admettre la conclusion fondamentale: s'il existe une particule de masse m et de charge a, alors il existe nécessairement une autre, de masse égale à m et de charge opposée, que l'on appelle antiparticule de la première."



Suivent des explications sur les différentes charges, et dans morceaux choisis, page 565.



"Le photon y ne possède ni charge électrique, ni nombre baryonique ou leptonique, ni rien d'analogue; il est donc sa propre antiparticule.
L'électron en revanche, porte une charge électrique, et il est doté d'un nombre électronique, que nous prendrons égal à 1, (par convention): toutes les autres charges sont nulles. Son antiparticule, le positon a donc charge +1 et nombre électronique -1. La masse du positon doit être rigoureusement égale à celle de l'électron, ce qui est vérifié expérimentalement avec une grande précision."



Ce qui signifie que les calculs et expérimentations faites en Mécanique quantique confirment le



concept de définition du graviton en physique classique.



Le graviton est une force d'énergie potentielle proportionnelle à l'énergie de chaque particule, c'est une propriété de l'énergie. (voir Graviton et champ scalaire, dans les messages précédents).



La théorie de Mécanique quantique à ainsi découvert de nombreuses incertitudes, inexplicables autrement qu'en probabilités d'antiparticules, de particules virtuelles, d'antimatière, d'antiénergie, etc, très précisément sans pouvoir en donner une explication en Physique.


page 574: "La réalité quant à elle, scrutée par expérimentation, confirme au-delà de tout espoir, la prédiction théorique: à toute particule, une antiparticule, aucune exception.



Mais nous n'avons pas, loin s'en faut, épuisé les trésors cachés de cette sentence, simple dans son énoncé, mais fastueuse dans la multiplicité de ses avatars concrets."



C'est ce qui provoque l'amertume du physicien quantique, dans cette dernière citation:


C'est donc une question d'interprétations des observations expérimentales en fonction des connaissances en Physique classique.



Une information plus récente du RHIC, Brookhaven, en 2006, dans:
« A-t-on entrevu les premiers instants de l'Univers? »
« On a découvert un nouvel état de la matière, le plasma de quarks et de gluons ».


C'est une probabilité quantique, de ce qui se nomme photons et gravitons en Physique classique, dans l'Univers, même dans l'état de confinement gravitique, l'origine du Cosmos.


5- Conclusions


5-1- Quelques observations résument l'époque quantique.


Il ressort de cet examen que c'est l'émulation due aux succès d'Einstein, au début du siècle, par ses théories mathématiques vérifiables physiquement, et l'apparition d'un nouveau phénomène de physique prometteur, les ondes hertziennes, qui incitèrent d'autres étudiants à tenter leur chance.
Dès lors, l'Univers semblait être uniquement sous le contrôle de l'électromagnétisme.
Einstein, bloqué par le dilemme onde-corpuscule dès 1904, sur le sujet des rayonnements lumineux, présente la théorie relativiste, en 1905.


Après 1907, la naissance d'une nouvelle possibilité expérimentale apparue, par la possibilité de générer les ondes hertziennes et de les observer à l'oscilloscope. De cette possibilité est née une théorie basée sur les mesures de fréquence et les quanta de Planck: la Mécanique quantique.


Une nouvelle discipline, intéressante pour les étudiants en physique.


Avant cela, cependant, la lumière faisait l'objet d'observations notables, malgré les faibles moyens expérimentaux disponibles, tels, dès 1807 par Thomas Young ou 1851, par Fresnel. Les travaux de Maxwell et la diffraction de la lumière, permirent déjà des mesures chiffrées, en 1885, par l'évaluation des fréquences en spectrométrie, Balmer établit la première formule comprenant un nombre quantique. De cette formule, Rydberg a évalué le rayon de l'orbite de l'atome d'hydrogène, à 1% de la valeur donnée par Borh, en 1913.


Par la spectrométrie aussi, vers 1890, Zeeman observait des variations cycliques de l'orientation du plan de moment magnétique.


Des physiciens de cette époque désirèrent établir une théorie sur le fonctionnement des atomes, comme celui de l'hydrogène, dejà imagé par Balmer, en spectrométrie.


Bohr s'en inspira le premier, présentant un aspect quantifié des orbites des atomes, en physique classique dont la constante de Planck. Mais la formule utilisée, basée sur l'inertie de la particule en mouvement circulaire, est probablement exacte, et conforme au principe de la Mécanique quantique, le principe de complémentarité. Mais cette formule néglige le noyau de l'atome, découvert cinq ans plus tôt.


De ce fait il n'y a plus besoin de gravité! (raisonnement encore actuel, dans les discussions d'étudiants, sur fr/sci/Physique.3, en 2006), phénomène connu depuis 1650, et prouvé en 1919 par Einstein. La « pensée orthodoxe » a bloqué la compréhension de la physique.


C'est une raison de l'invalidité de cette théorie, car tous les raisonnements suivants en dépendent.


Mais la spectrométrie montrant d'autres aspects, même pour l'atome d'hydrogène, les physiciens confrontèrent leurs théories mathématiques jusqu'en 1927, et aboutirent, faute d'accord, à un consensus appelé: « L'interprétation de Copenhague », le constat de complémentarité de l'onde et du corpuscule, autre formulation du dilemme onde-corpuscule.


Plus tard, les chimistes proposèrent l'utilisation du hasard, pour obtenir la , réalisée au cours de la dernière guerre, et la , comme dans la pile atomique Zoé, en 1948, puis les centrales atomiques.


La théorie de Mécanique quantique, bien qu'incomplète et incompréhensible, de l'aveu même des meilleurs spécialistes physiciens, malgré ces réalisations exceptionnelles, ne peut être évoquée pour d'autres résultats sans penser que, depuis 1927, la convergence des technologies, en matière de radio-électronique et de matériel de mesure numérique en particulier, a provoqué un essor prodigieux de certaines réalisations.


Dans le domaine atomique, le but premier, aucune compréhension nouvelle, c'est donc la radio-transmission de Hertz, en 1907, qui fit la gloire de la Mécanique quantique.


Le contrôle de l'énergie demeure le résultat des observations expérimentales.


Mais, encore, rien de nouveau dans le domaine de la Physique du Cosmos, le doute persiste, et depuis un siècle, en Mécanique quantique, comme en Physique classique, on ne sait pas encore si l'énergie est portée par l'onde ou par le corpuscule.


Pour en savoir plus, sur le blocage de la physique du X X° siècle, blocage qui n'affecte pas la radio transmission, voir:
L'erreur d'Einstein dans La Recherche n° 418 Avril 2008.


Les physiciens demeurent perplexes, malgré ces cinq
interprétations, toutes invalidées par les concepts de complémentarité et celui d'impulsion angulaire, que Einstein n'a pas accepté.
L'erreur d'Einstein est une pensée .)


5-2-La physique classique et la mécanique quantique.


En Mécanique quantique, les raisonnements et interprétations particulières des observations, sont les fruits d'une étude difficile en raison des moyens de mesures expérimentales insuffisants, mais aussi de méconnaissance des lois de la Mécanique classique, à cette époque. Le seul traitement possible des observations semblait être l'outil mathématique, et même adapté, il fut insuffisant pour élucider, jusqu'à maintenant, ce blocage de la Physique appelé: le dilemme onde-corpuscule, puis, l'interprétation de Copenhague.


5-3- Cependant, quelques précisions:

1°_ La constante de Planck, h, évaluation de l'énergie d'une particule isolée, est donc indépendante de la fréquence. Sa valeur: h=2π*ħ, est une quantité de mouvement.


L'interprétation en électromagnétisme est une longueur d'onde observable, sinusoïdale, projection de la trace sur un cylindre, dont le rayon, r, est ħ.
La longueur d'onde est une durée, C/f .Ceci donne à penser que l'énergie est portée par
l'onde, mais la théorie quantique ne peut trancher, la complémentarité s'y oppose.


La cinématique gyroscopique des particules thermiques impose que l'énergie est portée sur la trajectoire, et génère l'onde observable.


Le premier message: physique2005.blogspot.com).


L'énergie est un flux continu, découpé scientifiquement par Max Planck.
La dimension de ce vecteur le rend non décelable sauf en impact, comme un corpuscule, origine du blocage de la physique depuis 1904.
La complémentarité n'existe pas pour les ondes radioélectriques, représentant des vibrations, elles ne présentent aucun corpuscule.


2°_ La gravité, une force scalaire, est la cause de la cohésion des atomes, base de toute matière, solide liquide ou gaz. La Mécanique quantique ne peut donc apporter aucune connaissance valable dans le domaine atomique. L'atome d'hydrogène, le plus simple, est en attente!


3°_ Energie et température ont encore des relations difficiles, le coefficient K de Boltzmann n'est ni précis, ni une constante. C'est une évaluation mathématique, purement quantique!


4°_ Le concept de cinématique gyroscopique des particules, et les suivants, apportent des réponses aux interrogations posées par la Physique du XX° siècle, par exemple:


a)_ En physique classique, la courbure de l'espace temps..... dûe au champ de gravité, agissant sur les masses ou énergies en mouvement par inertie, la vitesse de la lumière, une constante......qui part de zéro, c'est plus exactement la vitesse des photons, toujours sous contrôle de gravité, qui nous apportent éventuellement lumière et chaleur, tant qu'ils ne sont pas devenus comme cristallisés par le froid, formant ce milieu parfaitement élastique, miroir de nos actions.


b)_ La définition du « graviton » est une loi de gravité scalaire.

c)_ La définition du graviton en Physique classique, permet de comprendre ce qui est appelé, en physique quantique, antiparticules, particules virtuelles, anti-énergie, antimatière, ou quarks et gluons, masse manquante, etc, soit 50 %, l'énergie potentielle et scalaire de l'univers).


Ceci justifie la proposition d'une nouvelle Physique classique, en fin de ce message.


Cette étude, entreprise après 25 années de retraite, ne visait au départ, que le comportement du photon, parcelle d'un flux continu d'énergie thermique, alors que l'électron possède aussi une partie thermique a une partie des propriétés du photon. L'électron est une particule composite. Il se compose d'un élément thermique: un photon, (la température de la masse ?) une charge de masse et une charge électrique, négative.
Seule la partie photon se manifeste par le rayonnement électromagnétique détectable. Mais le centre de gravité de l'ensemble, inconnu, en rotation gyroscopique peut faire osciller la trajectoire autour de l'orbite de base. En plus cette rotation et la rotation en orbite, engendrent un troisième mouvement, pas encore pris en compte dans l'étude des atomes.
Il faut noter l'usage courant du terme dans les exposés mathématiques, ce qui peut induire une confusion. La mesure est une évaluation par comparaison d'une valeur à une grandeur étalon de même nature; le résultat de calculs ne fait, bien souvent, que l'évaluation d'une valeur recherchée.


Bref, la théorie Mécanique quantique est bien une impasse pour la compréhension de la Physique, depuis un siècle.


Mais il en reste, par les expérimentations, des réalisations importantes:


1°)_L'énergie d'origine atomique, par réaction en chaîne et réaction contrôlée, une expérimentation, utilisant le hasard.


2°)_Le développement du matériel électromagnétique et des appareils de mesure, les instruments nécessaires aux expérimentations méthodiques.


La convergence des technologies a permis l'essor prodigieux de la radio-transmission et de l'informatique.


La gloire de la mécanique quantique est donc le fait:


1°)_ de la découverte de la radio-transmission par Hertz en 1907,
2°)_ de l'énergie proportionnelle à la fréquence, de Millikan en 1915,
3°)_ et l'expression des valeurs, en numération décimale, proposition française le SND, avant 1800 devenu système international en 1809.


La quantification en fréquence atteint une précision d'au moins 10^-14; la quantification en énergie est dotée de celle de la , 1,7*10^-7, (Wikipédia), mais est toujours restée du domaine expérimental.
La preuve de l'invalidité de la théorie de Mécanique quantique étant faite, l'interprétation des expérimentations prévues au LHC, en fin 2007 ou 2008, devrait en permettre la confirmation, par la compréhension en Physique classique.


6- Une nouvelle physique classique 'sur les pas d'Einstein'


L'invalidité de la physique quantique est maintenant établie, mais les notions nouvelles: logiquement apparues par la solution du dilemme onde-corpuscule, suggèrent l'établissement d'une nouvelle Physique classique,....sur les pas d'Einstein.
Ce sont des bases permettant de comprendre les lois de la nature, en particulier dans les domaines des particules, de la cosmologie, et de l'énergie à haute température.


6-1-1°_Le concept de la cinématique gyroscopique des particules d'énergie thermique.


Proposé à 4 spécialistes: Collège de France, universités belge et française, CNRS, en Avril 2004, puis sur: physique2005.blogspot.com le 18-07-06). sous le titre


Ce blog a pour objet de faire connaître:....


Chaque particule thermique génère un champ magnétique incliné sur sa trajectoire, à 45° pour la photon, moins pour l'électron, et crée ainsi une onde observable.


Par l'effet gyroscopique, la fréquence de précession, observable, apparaît être la racine carrée de la fréquence de l'onde d'énergie.


Ceci différencie les ondes d'énergie thermique, avec ondes hertziennes, les premières créant les secondes simultanément; cette solution permet de situer « l'instant de Planck » dans le temps universel, et conduit aux idées suivantes:


6-2- Le concept de confinement gravitique.


proposition et publication comme, 1° même titre, puis sur:
physiqueclassique2005.blogspot.com le 18-12-2007 sous le titre:


Cosmologie, Gravitation et expansion.


La gravité provoque le confinement permanent de toutes les masses et énergies de
l'univers.


La théorie de l'évolution concernant l'éther, présentée dans le message précédent, décèle deux transitions correspondantes à deux densités d'énergie particulières en confinement total ou partiel, indépendamment de la quantité d'énergie.


a)_ le Big-Bang, la naissance de l'éther par coïncidence d'une valeur de la force de gravité et de la force d'impulsion à l'origine, opposées. Température 10^21 °K. Début de la phase « gazeuse »: le Cosmos.


b)_ le Big-Crunch le confinement maximum, limité par le blocage des mouvements des particules, ce qui provoque une explosion destructrice: température plus élevée que 10^21 °K, et dimension de la sphère plus petite que pour le Big-Bang.
Ces deux valeurs de densité d'énergie sont donc deux valeurs constantes, et entre ces deux états, les particules sont libres, rotation et translation, d'où l'aspect « liquide » déjà observé en 2004.


Le Big- Crunch, tenté en accélérateur de particules, reproduit en partie, cette évolution.
Entre ces deux états de densité, il n'y a aucune radiation possible, la gravité s'y oppose; c'est un blocage si la densité augmente; le premier déconfinement a lieu, brutalement, c'est l'explosion thermique.


La gravité génère un nouveau confinement modéré des particules légères. Ceci permet un amorçage du refroidissement, le début de l'expansion, qui se poursuit automatiquement.
La température continue de chuter, tout se passe à l'intérieur du cosmos......comme actuellement!


Mais depuis cette période, il y a 10 milliards d'années, tous ces photons forment notre bulle-univers de densité 4*10^-31 gr/cm/cube et 3°K ce milieu parfaitement élastique.
Les photons plus récents, issus des étoiles ou du soleil par exemple, se déplacent sans difficulté, mais toujours sous effet de gravité!


La vitesse « C » est proportionnelle à la force d'impulsion originale, fp,
la vitesse de déplacement des photons est proportionnelle à la force différentielle fp-δfg. Elle part d'une valeur nulle à l'instant du Big-Crunch, et rejoint la courbe Cex, qui dépend de la même force différentielle.


Le Big-Crunch, densité maximale, correspond, non au centre de gravité, mais à la surface d'une sphère qui contient toute l'énergie de l'univers.


La courbe KIKO représente l'évolution de la vitesse des photons, donc de la lumière éventuellement, mais actuellement, à 3°K....?


Le tableau de l'expansion, établi en valeur « 0C », physique du XX° siècle doit-être revu.
A l'approche du confinement maximum, en réalité, en raison des différentes masses en orbites, ces deux transitions, établies pour l'éther, seul, à deux instants très proches, peuvent être séparées d'une durée très grande, des années-lumière, ou plus, pour atteindre la densité de blocage, le Big-Crunch.


De même,après « l'explosion thermique », le confinement des particules de faible masse, permet une évolution plus lente, modérée, limitée à l'état « liquide », mais de durée? (contrairement aux masses des astres, qui provoquent une évolution plus brusque de densité, vers le blocage de mouvements).


Pour faciliter l'explication de l'évolution dû au confinement, partons de l'état actuel:


Il existe des confinements partiels observables, certains sont appelés "les trous noirs" (des observations récentes: par le radiotélescope de Green Bank, en Virginie, USA, des images numériques, rapportées en physique actuelle, par A. Riazuelo de l'institut d'astrophysique de Paris. (Voir Sciences et Avenir Avril 2008.)


Les particules d'énergie, attirées vers le centre de gravité, s'échauffent et deviennent visibles. Par ces particules diverses, masses ou énergies, la densité atteint la valeur disons Bang, la lumière est piégée, c'est la couronne noire, la gravité augmente, l'orbitation s'accélère.


Toujours attirées vers le centre, et mises en orbite avec le groupe, la densité augmente et atteint la valeur disons Crunch, comme en impact, les particules sont immobilisées, la température est très élevée, l'énergie thermique se double de l'énergie de gravité, deux valeurs égales, c'est une "explosion thermique".


Ceci est conforme à la définition du graviton, dans ce cas E (=) 2 mC², et cela conforme une observation expérimentale: pour arrêter le mouvement d'un mobile, il faut autant d'énergie qu'il a fallu pour le mouvoir. Note1.


Les masses et énergies bloquées sont éjectées avec violence en direction axiale, en raison de l'inertie des masses en cours d'accrétion, l'éjection peut être permanente ou périodique, en fonction des masses environnantes.


Il existe d'autres observations de ce phénomène, telle notre galaxie, sous forme de galette en rotation, qui se prépare à devenir un trou noir, peut-être avant le confinement final.
Les masses diverses, sont des agglomérats d'atomes; ces derniers, pratiquement vides, subissent le confinement et, en haute température, l'accrétion de grandes masses
provoque un accroissement important de densité, et finalement, le Big-Crunch a un effet mécanique de dispersion, un déconfinement.. Note 2.


C'est une "explosion thermique".
Ce sont des flux thermiques portant l'énergie active, la constante cosmologique, et l'énergie réactive, l'énergie potentielle de gravité.


La gravité très importante, et la chute de température provoquent un confinement modéré.
Le refroidissement permet un nouveau Big-Bang: l'expansion commence.


Une particule de masse attire une particule d'énergie, plus faible.....un électron, qui passe près d'une masse plus importante,.....l'amorce d'un atome,.....ensuite,...à l'étude.
Mais les atomes existent, la force de gravité des noyaux les accole, des agglomérats se forment par accrétions successives, un effet « boule de neige », si l'on peut dire, ainsi naissent toutes les masses mobiles, les astres de l'univers, planètes, comètes, étoiles, etc, ces masses se groupent et forment des confinements partiels,.... maintenant,.....depuis 10 milliards d'années.


Ce mode d'évolution est un schéma de principe possible de fonctionnement en physique classique, auquel d'autres considérations, la faible vitesse et haute température au début de l'expansion, pour les proto-galaxies, par exemple, et s'ajoutent des réactions chimiques et nucléaires!...... Place aux physiciens cosmologistes!


Ce concept conduit à penser que le déroulement des phénomènes naturels est un système à récurrence, oscillant entre deux températures extrêmes.


Note 1: Ceci s'applique aussi aux particules, le blocage du mouvement des particules par le confinement total, génère autant d'énergie thermique qu'il fallut pour les créer.
Nous savons aussi que tout changement de forme d'énergie dégage de la chaleur, de même tout travail sur métaux; pour certaines réactions chimiques, ou l'impact d'un photon, la cause est la même.
Théoriquement, le blocage de la quantité de mouvement d'une particule, une énergie cinétique, génère l'équivalant en énergie thermique.
C'est donc la cause du Big-Crunch, le phénomène premier de la bombe atomique en fusion ou fission, de la dynamite, des réacteurs atomiques, aussi bien que lors de tout choc ou frottement, même d'une allumette, ou de tout échauffement par micro-ondes, et aussi de la chaleur spécifique des matériaux.


Note 2: Les explications concernant les trous noirs, confirmées par les observations faites à Green Bank, en Virginie, nous décrivent le processus du recyclage de l'énergie de l'Univers.
Le confinement total fait le vide dans son environnement, tant que la densité résiduelle est supérieure à la densité disons Crunch, de façon indépendante de la quantité d'énergie. Fin de l'explosion thermique.



6-3_ Une remarque : La Physique du XX° siècle remise en cause. 08-04 06.


Une observation: l'oubli d'un phénomène fondamental en physique actuelle: la gravité.
Transmise par courriel à diverse personnalités de l'enseignement universitaire et du CNRS.


6-4-4_ Le concept du graviton
Gravité et champ scalaire


physique2005.blogspot.com; le 08-02-06

La formule E = mC² permet de connaître la force de gravité, égale à la force de l'impulsion originale. C'est une force scalaire et proportionnelle à l'énergie. Ces deux forces naissent simultanément, par l'explosion thermique, le Big-Crunch, et forment ainsi le photon, unité d'énergie active et le graviton, unité d'énergie réactive, potentielle et scalaire.


Ceci montre que m (=) E, ce sont deux forces égales (m = masse en mouvement, (=) inertie et non pas M (=) E, car M est une inertie potentielle).
Ceci permet de comprendre le problème de l'ascenseur d'Einstein.
La force de gravité est la force d'appui nécessaire à l'action de la force d'impulsion originelle.
Ceci permet d'établir:


6-5- L'expansion et la vitesse d'expansion de l'éther.


Cosmologie, graviton et expansion


physiqueclassique2005.blogspot.com, du 18-12-2007


L'expansion thermique originale, due au Big-Crunch, est suivie d'un confinement gravitique, de densité inférieure à celle ,disons Crunch , la chute de température, provoque la réduction rapide de la force de gravité. Cette force s'opposant à la force constante de l'impulsion originale, passe par une valeur d'égalité, début de la libération de la force d'impulsion radiale.


Cet instant est le début de l'expansion lente de l'énergie thermique, l'éther, notre Univers.
Mais pendant l'expansion première, chaque vecteur de flux d'énergie cinétique, s'est transformé en flux torseur, d'énergie électromagnétique, dont le mouvement, reste libre dans l'état de confinement modéré qui suit.


Le refroidissement amorce la libération de l'énergie thermique, l'expansion.
La vitesse d'extension radiale des photons, notée: Cex, est aussi la vitesse d'expansion de l'univers.


Cette vitesse dépend de l'état de confinement des particules, en fonction d'une nouvelle loi de gravité dans ce domaine.


Le torseur permet d'en mesurer, la fréquence de rotation n par son influence magnétique sur l'éther actuel de l'éther, des photons froids.


La vitesse C est la vitesse de propagation électromagnétique dans l'éther (Maxwell).
C'est la propagation d'une onde plane, une vibration, par variation de potentiel d'une source locale, (comme les ronds dans l'eau, quand on y jette un caillou).


Cette vitesse est appelée, jusqu'ici, improprement, vitesse de la lumière,
La lumière n'est pas une variation de potentiel, mais une énergie en déplacement.
Cette vitesse actuellement considérée comme constante, n'est pas la vitesse des photons.
L'expansion du Cosmos, sous le contrôle de la gravité, a une limite assurée au confinement, la vitesse radiale doit donc s'inverser....(encore 2,735 °K ?)


A ce sujet, la courbe Kiko, est une évaluation théorique d'un éther homogène, en entropie maximale, et sphérique, ce qui n'est pas le cas en réalité. Cette grosse bulle de gaz magnéto-thermique, l'éther; maintenant parfaitement élastique, est encore animée par des « grains d'énergie » en cours d'évolution, les étoiles, et d'autres masses en cours de confinement gravitique, les trous noirs.


Pour cette raison, les valeurs des « constantes » peuvent évoluer.
Même la constante de Planck, voie sa valeur varier en fonction de la gravité.


6-6- Champs de forces scalaires:


Une masse, est le siège de champ scalaire, d'une force potentielle d'attraction.
Une charge électrique ou un pôle magnétique sont le siège de champs scalaires d'attraction ou de répulsion.
Cette force potentielle; la gravité; est égale à la force d'énergie de la particule.


6-7- Une nouvelle loi de gravité, concerne la densité de particules.


Cosmologie, graviton et expansion


physiqueclassique2005.blogspot.com, le 18-12-2007


La gravitation de Newton, en 1/d², concerne les masses, et Einstein l'a étendue aux énergies.
En cosmologie, en variation de densité d'une masse constante, de particules identiques il y a variation en trois dimensions, la formule nécessaire est en 1/d²*3 (1/d^6) et le champ de gravité est isotrope dans tout le volume.
Cette formule permet d'évaluer ma vitesse d'extension de l'énergie thermique, l'éther, à partir de Cosmos zéro, le confinement original.


6-8- La gravitation universelle


Ce blog a pour objet de faire connaître


physique2005.blogspot.com, le 06-02-2006


L'effet d'une force d'attraction ne peut, seul, provoquer la rotation d'une particule, sauf si cette particule est déjà en déplacement.
C'est le cas de la courbure de l'espace-temps, ou des lentilles gravitationnelles.
L'inertie des particules en mouvement y participe.


6-9- L'orbitation universelle


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physique2005.blogspot.com, le 06-02-2006


En termes de Physique classique, c'est le lieu d'équilibre d'une force de gravité, à une force opposée, par une particule en mouvement. C'est une trajectoire où s'équilibrent une force centripète, et une force centrifuge.
Cet état d'équilibre peut varier en fonction des influences de l'environnement.
C'est un mouvement universel.


6-10- Le concept de référence universelle de métrologie


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et Cosmologie, graviton et expansion


physiqueclassique2005.blogspot.com.


Les observations en ondes hertziennes, ont pour mesurande, l'éther, ce milieu parfaitement élastique, et sensible à la moindre sollicitation de vibration électromagnétique.


C'est l'état actuel des photons refroidis à 2,735 °K, évaluation mathématique, dans tout l'univers, hors l'influence des masses chaudes.
Référence en vitesse Cex.


6-11- Le flux thermique électromagnétique.


Ce blog a pour objet de faire connaître.....


physique2005.blogspot.com le 06-02-06



A l'origine, le Big-Crunch, la chaleur, un fluide, est expulsée sous forme de myriade de vecteurs indépendants, d'énergie confinée, présentant une charge électrique.


Une charge électrique en mouvement de translation génère un champ magnétique; cette action, provoque la rotation de l'ensemble, formant ainsi un flux électromagnétique, un torseur.


L'indépendance des particules se maintient même sous le confinement, modéré par l'accrétion de petites particules; l'espace n'est pas entièrement occupé ce qui permet la mobilité. La gravité est importante, la lumière est obtenue.


L'expansion de l'éther à lieu sous la forme d'une myriade de flux thermiques en rotation, ce qui permet de considérer chaque cycle comme une particule appelée photon.


Sa représentation, en Physique 2005, est: une force d'inertie par période, une flèche sur sa trajectoire, portant à son origine, un point de gravité, et un moment de torsion.
C'est ainsi que nous percevons les photons qui nous viennent du soleil ou des étoiles, comme s'ils étaient ceux de l'origine du temps. Cela s'est passé à température élevée, au dessus de 10^11 hz,......mais comment évoluent les photons non piégés au cours du temps pour paraître actuellement comme cristallisés?


Au départ, depuis cosmos zéro, sous accélération, chaque flux s'est scindé en particules séparées, les photons, sous forme de sphères par gravitation, (comme la fuite d'eau au robinet) puis, progressivement, par la réduction de la gravité, la densité chute, les photons peuvent occuper tout l'espace et se refroidir.


Ces photons sont passés de haute température, à l'état lumineux, à l'infra-rouge, au rouge sombre, puis sombre, traduisant le refroidissement, actuellement quelques degrés K. Les étoiles éteintes, beaucoup plus récentes, nous inondent de photons sombres, ce n'est pas anormal.


Note 1 : Einstein nous a dit que Energie et Masse forment une équivalence, mais non une
égalité; écrire E = mC² est une expression de vulgarisation mathématique. En Physique classique, il existait un signe approprié, le trois traits, et, malheureusement, il n'existe pas au clavier de l'ordinateur. Pour éviter l'incompréhension en physique, E (=) M, permet la distinction.


La constante de Planck est aussi une équivalence. Comme la constante de Joule, l'équivalent mécanique de la chaleur.


7_ Bibliographie:


La motivation de cette étude: Voir premier message, physique2005.blogspot.com.


Bibliographie du blog physique2005.blogspot.com

Revues Science et Avenir, Pour la Science, Science et Vie, La Recherche


En résumé,
Ces notions nouvelles justifient la proposition de reconstruire une Nouvelle Physique classique, sur les pas d'Einstein.



Nous espérons que l'interprétation, en Physique classique, des prochaines expérimentations faites au LHC, confirmera le concept de confinement gravitique, déjà observé au RHIC de Brookhaven, en 2004, validant ainsi cette étude.

Ceci termine le rapport d'une étude débutée il y a sept ans, car je suis contraint à la retraite, ne pouvant plus lire ni écrire, sauf sur mon écran de 19''.
Mais, à 94 ans ce mois de Mai , il est temps pour moi de remercier mes indispensables collaborateurs internautes, mon fils, Georges Devacht, puis mon ami, François Bonet, pour leurs aide et conseils, me permettant passer, devenu mal-voyant, de la machine à écrire à l'ordinateur, à 91 ans.





En souvenir de mon Père qui, un jour, en 1927, m'a offert un beau jouet, un gyroscope.





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