vendredi 9 janvier 2015

Polarité, le bon sens

Polarité, le bon sens

Nouvelle Physique... sur les pas d’Einstein

par André Devacht François Bonet

Sommaire

1_UN PROBLEME OUBLIE
2_INTERPRETATION ACTUELLE
3_INTERPRETATION EN NOUVELLE PHYSIQUE
4_APPLICATIONS
5_L'ENERGIE ATOMIQUE
5a_EN HAUTE TEMPERATURE
5b_L'EXPLOSION THERMIQUE
5c_L'IMPULSION ORIGINALE
5d_EN BASSE TEMPERATURE
5e_L'ORAGE
5f_LA FUSION FROIDE
6_Conclusions
7_BIBLIOGRAPHIE voir Physique 2005


1_UN PROBLEME OUBLIE

En Physique actuelle, il est encore une donnée expérimentale dont l'interprétation mérite une nouvelle réflexion : il s'agit du sens du courant électrique, un problème de relativité.

La polarité électrique fut établie empiriquement par Volta en 1800, et vers les années 1870, CROOKS inventait le tube cathodique à l'origine de l’oscilloscope et de toute radio et télévision, le début de l'électronique.

Voici un extrait de Wikipédia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tube_de_Crookes

Schéma d'un tube de Crookes.

1878 : Lors de ses investigations sur la conduction de l'électricité dans des gaz à faible pression, il découvre que si la pression est abaissée, la cathode semble émettre des rayons lumineux. Ces rayons ont été appelés « rayons cathodiques », c'est-à-dire des jets d'électrons libres. Cette propriété est utilisée dans des dispositifs d'affichage à rayons cathodiques, comme les tubes de télévision. Le tube de Crookes utilisé dans la technique des rayons X lui doit son nom.

Quand la cathode est chauffée, elle émet des rayons qui se propagent jusqu’à l’anode. Lorsque les parois intérieures du tube sont revêtues d’une matière phosphorescente, elles émettent de la lumière. Une croix métallique disposée entre la cathode et l’anode projette son ombre sur l’anode, ce qui suggère que des rayons sont la cause de la luminescence, que ces rayons se propagent en ligne droite et que de la lumière est émise lorsqu’ils frappent le revêtement phosphorescent.
La polarité affichée est celle de VOLTA. Cependant CROOKS fit remarquer que la source d'électrons libres étant la cathode, ce doit être le pôle positif, mais à cette époque, en 1877, cela fut, sans doute, jugé sans importance.
(comme en 1900 PLANCK jugeait sa constante tellement faible quelle ne servirait à rien), la notion d'énergie n'avait pas encore cours.

Cependant cette erreur perdure, depuis le congrès SOLVAY en 1927, les mathématiques semblent avoir relégué la Physique aux « oubliettes », ou serait-ce un effet de la « modération » ?


2_INTERPRETATION ACTUELLE

L'interprétation, depuis lors, est la suivante : les électrons partent de la cathode vers l'anode sous tension positive.

Déduction : l'électron est de polarité négative.

Depuis la création du Tableau des particules, du LHC, l'électron est de polarité négative, comme précédemment c'est une impasse en physique et sur d'autres disciplines utilisant la Physique.


3_INTERPRETATION EN NOUVELLE PHYSIQUE :

Les électrons partent de la cathode vers l'anode, c'est le bon sens.
Maintenant nous tenons compte des notions d'énergie : voir la théorie
nouvelle d'équivalence (message précédent) :

énergie thermodynamique <=> énergie électromagnétique

Le minimum d'énergie est à 0 kelvin. Toutes les énergies sont positives.
La cathode est donc positive, et si l'anode était positive, les électrons partant de la cathode seraient repoussés, l'anode est donc négative.
Ceci confirme l'observation de CROOKS.


4_APPLICATIONS
Cette notion, polarité positive de l'électron, et la nouvelle constante h'permettent d'élaborer une théorie de Physique cohérente,
« sur les pas d' EINSTEIN »

5_L'ENERGIE ATOMIQUE

5a_1er Cas : haute température.*Par la théorie d'équivalence électrique de la chaleur, nous avons une échelle de température de 0 à 10^33 kelvin, sans valeur négative, les différents cas présentés dépendent de différentes perturbations possibles des atomes.


5b_L'EXPLOSION THERMIQUE

Considérons l'énergie d'un électron en haute température : c'est une charge <é> en mouvement, au dernier cycle avant ce que nous avons appelé « l'explosion thermique » : (valeur à fr² = 10^43 cycles), que la conversion thermique augmente en température, et la porte au point que nous avons appelé « Cosmos -1 »).
Cette fréquence, 10^43, c'est le point d'équilibre densité d'énergie-gravité, identique en refroidissement, à la naissance de l'univers, que nous avons appelé « Cosmos zéro » au début de l'étude.
Son énergie est, par principe, égale à la constante de PLANCK. La montée en température d'un bloc concentré d'électrons provoque la réaction en chaine, une destruction de la matière.
C'est le cas lors d'une catastrophe en centrale atomique.

Le refroidissement permet une reconstruction, ce peut être notre Univers.


5c_L'IMPULSION ORIGINALE

C'est à « Cosmos -1 » que l'impulsion se produit.
Chaque électron porte 3 énergies, en plus de sa charge électrique :
énergie de translation (a), énergie de rotation (b) plus énergie thermique (c)

(équivalences <é> en J,s = 1 kcal /1628*10^-2
(suivant les normes du 01-01-1962 du S.I.)
charge <é> = 1,602 176 565*10^-19 J,s

Suivant la formule d'EINSTEIN : E = mC², à laquelle nous ajoutons la durée d'impulsion, les formules peuvent s'écrire :

énergie de translation 1/2mC² = 1/2*éC² *1 / 10^43 =
(0,5 /10^43)*1,602 176 565*10^-19 *9 10^20 = 7,209 794 542 50 10^-42 J,s = (a)

énergie de rotation, idem, car l'énergie d'une particule ne dépend pas de sa trajectoire : 1/2mC² = 1/2*éC² *1 / 10^43 =
(0,5 /10^43)*1,602 176 565*10^-19 *9 10^20 = 7,209 794 542 50 10^-42 J,s = (b)

énergie thermique d'origine cinétique : a+b = d
d = 7,209 794 542 50 10^-42 + 7,209 794 542 50 10^-42
= 1,4419589085 10^-41 J s

d = 1,4419589085 10^-41 J,s / 1628*10^-2 = 8,8572414527027 10^-43 kcal

énergie thermique : c = 10^33 cal / 10^43
c = 1^-10 cal

La particule <é> est non détruite.

énergie totale pour un électron = (d + c)
= 8,8572414527027 10^-43 + 1 10^-10 cal = 1 10^-10 = Eé
On utilisera de préférence la valeur h'.

Ce qui représente l'impulsion originale, en principe égale à h', la nouvelle constante de PLANCK, ainsi corroborée.

Nous avons ainsi « l'inertie en dynamique » (ancienne dénomination) de la particule <é>,
I (force d'inertie) = h'/1043 = 1,299 259 029 906 92 ×10-10 /1043
= 1,299 259 029 906 92 ×10-53 cal
et la masse,
m = I / C² = 1,299 259 029 906 92 ×10-53 / 9 10^20
= 1,443 621 144 341 020 × 10-74 cal

et nous avons l'équivalence en fréquence qui précise la densité d'énergie ou inertie (opposition potentielle).

Remarque :
Les définitions de la masse, en calorie, de la gravité en fréquence, et d'autres grandeurs, peuvent ainsi bénéficier de la précision de h' comme mesurande, en particulier pour le Joule : + ou – 1 10-3 contre 14 décimales.

Par principe une calorie par kelvin et par la théorie d'équivalence électrique de la chaleur, la constante h' peut être le plus précis mesurande de la Physique.

h' se présente comme l'unité d'énergie cinétique, thermique, et inertie (masse).

De plus cette quantité d'énergie est égale à l'énergie de gravité à l'instant « Cosmos zéro », la naissance de l'Univers.

(Ceci permet d'évaluer le diamètre de l'Univers, selon NEWTON, et par la densité à cet instant, la quantité d'énergie thermique, d'origine inconnue).

Et pour n électrons stoppés simultanés ou non, à fr² = 10^43, nous avons :

Ené = n (d + c)

c'est aussi le cas lors d'un orage, mais c'est à température encore inconnue
(avec h'= Nouvelle constante de PLANCK)


5d_ 2éme Cas : basse température.

L'explosion thermique peut se produire à basse température, par exemple par compression, c'est le cas du moteur Diesel.
Les électrons du carburant sont sous l'impulsion originale, en vitesse C , ils ont les mêmes énergies a et b :
7,209 794 542 50 10^-42 J,s = (a)
7,209 794 542 50 10^-42 J,s = (b)

d = 7,209 794 542 50 10^-42 + 7,209 794 542 50 10^-42
= 1,4419589085 10^-41 J,s
soit ;1,4419589085 10^-41 J,s / 1628*10^-2 = 8,8572414527027 10^-43 kcal*

mais à température ambiante de 300 kelvins l'énergie thermique est égale à
(T°' température en kelvins)*h' soit
300 x 1,299 259 029 906 92 ×10-10 calorie/cm3
= 3,897 777 08 720 76 *10^-8 cal

Seule l'énergie cinétique des électrons intervient (par friction entre atomes) et provoque l'éclatement de tous les atomes du carburant.


5e_ 3éme Cas : Entre ces deux cas extrêmes, il y a l'orage, une bombe atomique à eau ce qui est un « modèle » de générateur d'énergie thermique, objet de notre proposition d'étude du 01-03-2011, un nouveau défi technique certes, mais un remède aux maux de notre planète.

Lors d'un orage, ce fait est causé par le soleil, les charges <é> de chaque photon s'accumulent sur les atomes H²O, cette surcharge les perturbent, provoquant une destruction en chaine, à une température encore inconnue.

Une mole d'eau comporte 6,02214129*10^23molécules H²O à dit Avogadro, et chacune 10 électrons, ce qui représente une énergie cinétique de :

Ené = nEé =6,02214129 *10^23 x 10 x h' = 7,824321450407810 1014 kcal / mole

(équivalence: SI 1962, 1 kcal = 1 kwatt-heure*1,1682*10^-2)

Une mole d'eau représente une énergie potentielle de :

7,824321450407810 1014 * 1,1682*10^-2 = 9,14037231836640 1012 KWh


Note : L'orage est dû à la saturation de charges <é> sur les atomes H²O, car chaque photon apporte de la chaleur, mais aussi 1 charge <é>, comme sur les panneaux solaires; ce fait perturbe quelques atomes qui, à leur tour, perturbent des milliards d'autres atomes, en une fraction de seconde.
Ceci génère une quantité de chaleur proportionnelle au nombre de charges <é >, en vitesse C, la physique actuelle nous dit que l'explosion, dans l'atmosphère, provoque un espace vide, la chaleur s'échappe vers le haut et dessous la dépression génère un refroidissement que nous observons par de la grêle, une chute de grêle bien souvent.


5f__4éme Cas : C'est la « Fusion froide »
Un générateur thermique, par réduction de vitesse des électrons, par frottement interne, sous pression hydrogène, (message du 13-02-2011) (voir Fusion froide, Wikipédia). Contrairement aux cas précédents la fusion froide ne conduit pas à l'explosion, mais à la dégradation de la matière, solide ou liquide.
Mais dans tous les cas, toute source de chaleur a pour origine la conversion naturelle de l'énergie cinétique en énergie thermique, c'est là une énigme.


6_CONCLUSIONS

L'erreur de sens du courant électrique et la constante de PLANCK sont les deux blocages principaux de la physique actuelle, depuis 1900.
La théorie d'équivalence électrique de la chaleur :
état thermodynamique (=) état électromagnétique
ouvre un nouveau chapitre de la physique, complément de l'électromagnétisme, aux connaissances de l'Univers.
La compréhension du phénomène atomique conduit à penser à une énorme explosion thermique, la destruction d'un Univers comme le nôtre, ou énergie de source inconnue.
Le refroidissement permet l'impulsion originale des particules, c'est la naissance de notre Univers, les deux composants, les particules <é>, en quantité incommensurable, et diverses masses, pas encore définies.

Puis, par gravité et force de Coriolis s'édifient, au hasard, les atomes, en forme de trajectoires sphériques les photons et les 112 éléments de MENDELEV.
Ceci est un aperçu de cette nouvelle physique selon EINSTEIN et la nouvelle théorie d'équivalence électromagnétique de la chaleur ouvre un nouveau chapitre en complément de l'électromagnétisme.

C'est un ensemble de données nouvelles cohérentes que nous proposons comme base d'une
Théorie Physique de l'Univers selon EINSTEIN



Ce message termine cette étude de la physique de la matière ordinaire.