mardi 13 décembre 2011

Fusion froide et Nouvelle Physique

 

Fusion froide

et Nouvelle physique

Théorie de l'énergie atomique



par André Devacht , François Bonet et Georges Devacht



Sommaire :


1- Préambule

2- La physique de la matière

3- Les perturbations de l'édifice atomique

   3-1- La perturbation thermique par un rayonnement :

   3-2- La perturbation par frottement

4- La fusion froide de ROSSI

5- Conclusion générale

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1- Préambule



L'expression 'fusion froide' désigne , depuis plus de vingt ans , les réactions chimiques qui génèrent de la chaleur , dont la source est inconnue .



L'énergie thermique générée est due à la conversion de l'énergie cinétique des électrons atomiques en énergie thermique ; explication :



2- La physique de la matière



La matière est un agglomérat d'atomes divers , par effet gravité entre les noyaux

maintenus à distance par le champ de répulsion électrique des électrons.

Ceci évite, normalement , toute friction entre atomes

L'atome est composé d'électrons en orbitation sphérique , ( en principe) autour d'un noyau; (voir message précédent) et déformé en raison des contraintes diverses , internes ou externes, c'est un édifice à « géométrie variable , à élasticité limitée ».



Le noyau demeure au centre de la sphère par inertie , une masse sollicitée en toutes directions par les électrons en orbitation .



L'électron est une charge électrique positive, ( de masse nulle ) en mouvement à vitesse C , par l'impulsion originale , et porte une charge thermique résiduelle .



L'orbite est le lieu d'équilibre entre la composante radiale de dynamasse ( énergie de mouvement de l'électron ) et la force de gravité du noyau ;



La forme de l'orbite , sphérique par principe et creuse , est déformée par les contraintes internes, et subit les déformations élastiques dues aux contraintes extérieures ; pour in solide, il en résulte une limite d'élasticité intrinsèque , des déformations résiduelles variables , mesurables par extensométrie avec une précision et une fidélité de l'ordre de 10^-9 en delta L/L ; la fatigue du solide n'apparaît qu'au dessus de la limite élastique intrinsèque ( voir message précédent ) .



La charge thermique , une rotation autour de la trajectoire , et la rotation autour du noyau , génèrent la force de Coriolis , formant la trajectoire sphérique .



La répartition des charges électriques dans l'espace est partie de l'impulsion originale , à Cosmos -1 , l'énergie la plus élevée ; l'impulsion les a dispersées en nombre considérable en un court instant , pendant lequel la gravité et le refroidissement effectuent le confinement Cosmos zéro .

En expansion, une faible dispersion des valeurs d'énergie totale ( charges électriques et thermiques ) et la dynamique , génèrent les photons et l'orbitation sur les particules de masse ,formant les atomes , puis .....



La dispersion relative d'énergie des électrons est demeurée jusqu'à nos jours , à la température actuelle des atomes .



L'atome est ainsi constitué d'électrons répartis sous une forme pseudo-sphérique et espacés par répulsion électrique ; ils réalisent des enveloppes très

rapprochées , quelques quanta , indiscernables .



Ce concept est corroboré par le tableau des particules : une seule valeur expérimentale ; contrairement à la répartition de Niels BOHR ( 1913 ) .



(C'est ainsi la troisième erreur dans les données de la physique du XX° siècle )



Les atomes se construisent au début de l'expansion, par des particules élémentaires issues de Cosmos zéro, en fonction croissante de leur énergie, en raison de la chute de gravité de Cosmos zéro.

Cosmos zéro est le confinement des particules élémentaires, propulsées par « l'explosion thermique », à Cosmos -1; c'est une première expansion par énergies mécanique et thermique des particules électriques é, ou neutrinos électriques, et des particules de masse, neutrinos et quark

3- Les perturbations de l'édifice atomique



Dans un solide , liquide, ou gaz, hors des contraintes extérieures , à température ambiante, les électrons atomiques, à vitesse C par l'impulsion originale, décrivent théoriquement une sphère, par orbitation.



Toute perturbation de l'énergie cinétique génère proportionnellement de la chaleur, ce qui augmente le rayon d'orbitation La limite est atteinte lorsque la gravité du noyau, une constante, ne maintient plus es électrons en orbite.le : c'est «l'explosion thermique, la décomposition de la matière en énergie thermique,, et éjection des charges électriques et masses, les particules élémentaires



3-1- La perturbation thermique par un rayonnement :



Sous l'effet de cette action la vitesse des électrons , C , reste stable , mais la dynamasse augmente par la charge thermique supplémentaire ; le rayon de la sphère augmente , il y a dilatation ; un nouvel équilibre existe , tant que la force de gravité maintient la particule en orbite ; ( effet photo-électrique

d'EINSTEIN 1917 ) : si le rayonnement persiste , les électrons sont libérés et éjectés à vitesse C , ( voir orbitation dans :






Dans la matière , solide liquide ou gaz , les électrons libérés perturbent mécaniquement les atomes voisins par blocage : la suppression des mouvements est la déconstruction de la matière , l'énergie cinétique des électrons est convertie en énergie thermique , noyaux et charges électriques sont projetées , ..... ( rayons gamma et rayons x ) , une valeur critique de température a été dépassée .



Exemples : l'orage, les explosions en centrales atomiques, et une expérimentation :(école supérieure Fénelon, Lille 1927).

une réaction chimique probante du recyclage :

l'eau est décomposée électriquement en hydrogène et oxygène dans deux éprouvettes , quelques cm^3 : les gaz sont réunis sous une cloche sèche et solide ; l'ensemble est stable , mais une étincelle ou une flamme provoque une «explosion thermique» , ...... et une goutte d'eau tombe de la cloche !(remarque du professeur, sans explication)



Il y a déconstruction des atomes , H² et O , les gaz , et reconstruction de l'eau ....



Rien ne se perd , rien ne se crée , disaient LAVOISIER et EINSTEIN, on le constate aussi au LHC , comme au RICH .



3-2- La perturbation par frottement



Dans un solide , les atomes de surface n'étant pas soumis aux mêmes contraintes que les atomes internes , ont une forme différente : un barreau d'acier cassé ne peut être reconstitué par compression , la discontinuité entre deux pièces laisse toujours un espace ; seuls quelques atomes sont en contact , comme deux pièces différentes .



En mouvement relatif , par la répulsion électrique, les charges électriques d'une pièce perturbent les trajectoires atomiques de l'autre pièce , l'interaction est insuffisante pour provoquer des collisions , mais seulement des frictions entre particules , ce qui ralentit leur vitesse .



En conséquence , l'énergie cinétique des électrons diminue , un nouvel équilibre avec la force de gravité opère une réduction du rayon de l'orbite ; l'énergie cinétique perdue est convertie en chaleur .



Le frottement entre surfaces ne provoque que peu d'échauffement , en raison de l'espace de séparation .



4- La fusion froide de ROSSI



Cette expérimentation met en présence du nickel 28 et de l'hydrogène .

Dans ce cas , tous les atomes de surface du nickel sont en contact avec les atomes d'hydrogène , par la force de gravité entre les noyaux du nickel et d'hydrogène .



En conséquence , la répulsion électrique est beaucoup plus importante , provoquant le ralentissement des électrons de tous les atomes de surface .



La réduction de vitesse des électrons entraîne la réduction du rayon des orbites atomiques et le dégagement de chaleur correspondant à la chute d'énergie cinétique .

Danger : dans ce cas , malgré la réduction d'énergie cinétique , si l'échauffement atteint la température critique , c'est «l'explosion thermique» ( l'expérimentation de

Fleischmann et Pons en 1989 ) .



Sachant que l'énergie totale d'un électron ( tableau des particules ) est : 0,511 MeV , l'équivalent en énergie thermique est :



éV = 1,602*10^ -19 J

(0,511*10^6 )*1,602*10^-19 = 0,817*10^-13 J / électron



Mais la Nouvelle Physique oblige à reconsidérer tout ce que nous connaissions et ce que nous avons écrit précédemment , à commencer par l'énergie de l'électron .



1°_ La constante C , est une valeur mathématique ..... qui ne tient pas compte de la gravité de Cosmos zéro , ni de la température ; c'est l'action de l'impulsion originale sur une masse nulle .



2°_ L'expansion de l'univers part de Cosmos zéro , un état «liquide» , hautes densité et température , formé de quatre énergies cinétique , thermique , électrique et masses , des énergies dont une a une valeur fixe: la charge électrique , et l'autre une valeur limite, la quantité de mouvement .



3°_ La charge électrique est une énergie potentielle ; la valeur C est la quantité de mouvement de l'impulsion originale . Ce sont les deux valeurs naturelles qui définissent l'unité d'énergie active .



L'énergie d'impulsion est E = mC²

d'où Eu = ½ éC² avec une précision :

é signifie charge électrique et non électron ; .

l'électron porte aussi une charge thermique et une énergie cinétique ;

la valeur est ½ mC² , pour les énergies propulsées .



Eu est une unité d'énergie de la Nature , lors de l'impulsion originale , alors que les unités de la Physique, c , g , s , A , V , W , et autres sont conventionnelles .



La valeur de la charge é est , suivant Wikipedia : ( Note 1) .



1,602 176 565 *10^-19 A.s. ,

ou J , sous 1 volt , une énergie potentielle , soit éV ;

la dynamasse de la charge électrique est

mC² = éV*C² soit :



( 1,602 176 565*10^-19 )*( 9*10^20 ) = 1,44196*10 éV ( Eu )



l'unité d'énergie Eu est celle de toutes particules, en mouvement par

« l'explosion thermique « lors du Big-Crunch .



L'énergie d'impulsion de l'électron atomique est

E = mC², = Eu*2 = 288,392 éV



( de même pour le photon , et particules diverses )

dont ½ mC² d'énergie cinétique

et ½ mC² d'énergies propulsées



Note 1- : la charge électrique , jusqu'ici notée -1, est positive(voir le message précédent, et les conclusions)



Note 2- : la valeur en joule est, actuellement, celle de l'éV , signifiant électron-volt , en électricité industrielle , où é est une des trois énergie de l'électron , et

V = 1 volt , alors que l'électron atomique génère une tension électrostatique , non précisée .

L'énergie d'impulsion devrait être ainsi évaluée : Eu = céV stat .(charge électruque*tension électrostatique)

Cette nouvelle valeur de l'énergie de l'électron atomique établie , le raisonnement sur la fusion froide reprend .



La charge électrique , 1 éV , la charge thermique ( 144,196) -1= 143,196 éV , et



l'énergie cinétique , 144;196 éV , convertie en énergie thermique par immobilisation , établissent la valeur thermique totale :



Eth = 288,392 éV , soit en Joules

288,392*(1,602176565*10^-19) =4,62054*10^-17 J ( a )



En tenant compte d'une utilisation de 50% , l'énergie obtenue est :

par électron ( 4,6205410^-17 /2 = 2,31027*10-17 J /électron( b )



la vitesse d'orbitation est: pour cette énergie



(½ mC²) /2= C²/2 = V² d'où     V=racine de / 2 = 2,12132*10^10 cm/s,



Le diamètre atomique Ni = 300 pm soit 3*10^-8 cm ( valeur calculée ) , en présentation cubique , face centrée ( Wikipédia )

Ceci permet de connaître le nombre d'électrons soumis à l'épreuve , soit par cm :



1 / 3*10^-8 = 3,33*10^7 atomes / cm ( c )



soit en nombre d'électrons du Ni 28 :



d = (c*28 ) ( 3,33*10^7 )*28 = 9,33*10^8 électrons/cm ( d )



par cm² , e = d²



( 9,33*10^8)² = 8,7804*10^17 électrons/cm² ( e )



par cm^3 , f = d ^3

( 9,33*10^8 )^3 = 8,1216*10^26 électrons / cm^3( f )



La conversion possible en énergie thermique , limitée à 50% est :

par cm² , g = b*e

( 2,31007*10^-17 )*8,7804*10^17 = 20,29 J / cm² ( g )



et par cm^3 , h = b*f

( 2,31027*10^-17)*8,1216*10^26 =1,87630*10^10 J / cm^3 ( h )



et en énergie thermique , ne retenant que l'activité en surface , on obtient le dégagement de g/3600 = Wh

(20,29)/ 3600 =5:6311*10-3 Wh par cm²





Cette valeur suppose que l'interaction ne perturbe que la couche atomique de surface , et sans pression , seule l'expérimentation permettra de savoir si cette perturbation atteint les couches d'atomes plus profondes .



Dans les mêmes conditions , l'énergie thermique correspondante par cm^3 , est

h / 3,6*10^6 = kWh / cm^3

( 1,87630*10^10 ) / 3,6*10^6 = 5,201198*10^3 kWh / cm^3



( Ceci est le Danger , indiqué plus haut : (5,212*10^3)*2*2= 2084 kWh en cas d'«explosion thermique»)

.

Remarque : Les atomes sont des particules vides, et l'on saut qu'il est difficile de dégazer un récipient métallique !





Pour mémoire il existe d'autres formes de perturbations possibles , exemples :

_par échauffement :un courant électrique, une flamme;

_par chocs : amorces , dynamite , nucléons, etc ,

_par ondes radio-électriques : four micro-ondes ,

_par compression : moteur Diesel ,

_par un rayonnements : magnétique , X , gamma ,

_par déformations rapides , en contraintes alternées ,

et autres, tel certaines réactions chimiques.





5- Conclusion générale



Cet échauffement dit Fusion froide , est dû à un phénomène fondamental concernant l'électron atomique , ignoré jusqu'ici , bien que nous en observions souvent les effets : c'est la conversion de l'énergie cinétique des électrons atomiques en énergie thermique , lorsque leurs mouvements sont perturbés , prouvant ainsi l'énergie positive de l'électron .



Ce phénomène de conversion peut aussi provoquer l'orage , par la déconstruction de l'édifice atomique des molécules H²O ; c'est donc la possibilité d'acquérir l'énergie atomique de l'eau ce que nous avons décrit dans le message précédent :

Cosmologie Nouvelle physique , .... sur les pas d'EINSTEIN .



Bref , une mise à jour de la Physique du XX° siècle résulte de cette étude : en particulier les définitions du photon et de l'atome , la découverte du phénomène fondamental concernant l'électron, l'énergie atomique , l'unité d'énergie naturelle , et la réforme des concepts suivants :

1°- Dans le tableau des particules , la charge électrique de l'électron est notée négative .

Nouvelle Physique . C'est une erreur pour deux raisons :

a_ Il n'existe pas d'énergie négative ;

b_ La polarité est due à VOLTA , en 1800 , et en 1870 , CROOKS a démontré que la charge électrique circule du positif au négatif dans la source et du négatif au positif en utilisation , donc à l'inverse des polarités conventionnelles ( le tube cathodique ) .



2°- L'impulsion angulaire , de Niels BOHR , puis de R . FEYNMAN .

Ce concept , purement mathématique ne représente aucune possibilité de réalisation en physique des particules .



Nouvelle Physique : il s'agit du phénomène d'orbitation , une observation partielle prévue par EINSTEIN en 1919 , et appelée «courbure de l'espace-temps» .



3°- Les orbites de Niels BOHR ;

La répartition des électrons dans l'espace atomique , tenant compte de la répulsion électrique et des niveaux quantiques est valable , mais à partir du noyau est une erreur ( raison du blocage de la compréhension ) .



Nouvelle Physique : les électrons sont issus de l'impulsion originale , en haute énergie , à vitesse C , et après orbitation autour d'une masse , et refroidissement , forment des trajectoires sphériques ; ainsi les électrons ont tous la même énergie , ce que confirme l'expérimentation : 0,511 MeV .(valeur actuelle, mais 288,34 éV, en Nouvelle Physique)



4°- La constante de BOLTZMAN ,

une valeur en mécanique statistique du rapport température / fréquence , 1,38

jamais confirmée .



Nouvelle Physique :

L'unité de température, en chaleur diffuse, est la calorie par cm cube , soit °C/ca ; la densité d'énergie dans un volume, évaluée en ca/cm^3 , en chaleur rayonnée, permet K/ca =1, le volume considéré, le photon, contient une quantité de mouvements d'une charge électrique.



5°- Une confusion : la période d'oscillation de deux sortes d'ondes : l'onde générée par le passage du photon , et l'onde de radio-transmission



Nouvelle Physique : la première définition d'oscillation est due à M . PLANCK , en 1900 , au cours de l'étude du corps noir , concernant les effets thermiques à fréquence maximale , vers 10^43 c/s ( mathématiquement ) .

La première observation e st due à HERTZ , en 1907 , en radio-transmission électromagnétique ; en son honneur , en 1908 , la période devint l'unité de fréquence appelée un HERTZ .

Dans le premier cas , il s'agit du transport d'énergie thermique , dans le second cas , il s'agit de transfert de signal par vibration harmonique .



La possibilité d'observation expérimentale des ondes est limitée actuellement vers 10^17 Hz , mais les ondes thermiques , les photons , sont issus du Big-Bang , à la fréquence 10^43 , inobservables directement , mais la cinématique du photon lui permet de traduire en générant des ondes à partir de racine 10^43 , une fréquence encore supérieure à la limite observable .



6°- Nouvelle Physique : par cette confusion , la constante de PLANCK est

E= fr*h , mais expérimentalement nous avons E = fr²h :

le corpuscule, génère l'onde observable.



7°- La gravitation universelle ;

cette expression traduit une confusion entre gravité et rotation en orbite .



Nouvelle Physique : la gravité est une force d'attraction entre deux inerties , imposant des déplacements de grandeur inverse à la valeur des inerties , et conduit au contact , sauf si la plus faible inertie porte une énergie en mouvement tangentiel et vitesse permettant sa satellisation : une force s'oppose à la force de gravité , ces deux forces , centrifuge et centripète , s'équilibrent et imposent le mouvement en orbite .



8°- L'énigmatique formule d' EINSTEIN , E=mC² ;



Cela représente l'énergie de l'impulsion originale des particules de masse nulle .



Nouvelle Physique : cette impulsion a lieu en haute température , et génère deux mouvements , une rotation et une translation , deux énergies cinétiques égales , par principe , soit :

½ mC² ( dynamasse ) pour l'énergie d impulsion en translation , et

½ mC² ( dynamasse ) pour l'énergie ou les énergies propulsée en rotation ,



Il en est de même pour les particules de masse , soit :

½ mV² , ( dynamasse ) pour l'impulsion en translation , et

½ mV², ( dynamasse ) pour la masse propulsée , ( masse et sa charge thermique ) .

9°- Les particules virtuelles , .... le graviton , l'énergie virtuelle , ... des énigmes .



Nouvelle Physique : il s'agit de l'impulsion originale de translation d'une particule , ( ½ mC² , ou V² ) .



10°- Et l'atome original de l'abbé G . LEMAITRE , un concept d'inspiration religieuse , contraire aux observations scientifiques en astronomie , en chimie et en physique , «rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme.»

( LAVOISIER , EINSTEIN ) .



Nouvelle Physique : origine élucidée par la solution du dilemme onde-corpuscule et le prix Nobel de Physique 2006 .



Rappel : Ces réformes ont permis la définition du photon , de l'électron , de l'atome , la découverte du phénomène fondamental : la conversion de l'énergie cinétique des électrons atomiques , en énergie thermique , lorsqu'ils sont perturbés , ainsi que l'unité d'énergie naturelle, et la correction de confusions .



L'énergie atomique est à l'origine de tout échauffement ou mise à feu , de la chaleur spécifique, le frottement, la dynamite, l'orage , les bombes, et même jusqu'au recyclage de l'univers .



Par les répercussions importantes prévisibles en Physique générale , cette modification des données initiales est la base d'une



Nouvelle Physique …. sur les pas d' EINSTEIN

( proposée le 01-03-2011 )