mardi 12 juillet 2016

PHYSIQUE de L'UNIVERS selon EINSTEIN

en Nouvelle Physique

Équivalences et énergies

par André Devacht,


et la collaboration de C. Daviron (secrétaire technique)


Sommaire

1_Préambule

2_L'équivalence électrique de l'inertie

3_L'équivalence électrique de la gravité

4_Conclusions

5_La chaleur du cycle de KREBS

6_Rappels_La motivation de l'étude

7_Bibliographie (message du 08-08-2008)




1 Préambule

La Physique de l'univers est maintenant établie sur des données cohérentes et comprend une nouvelle théorie : l’équivalence électrique de la chaleur.

(Pour mémoire de la Physique actuelle voir les motivations de l'étude, en 6_ Rapels)

La définition de valeur de la constante de PLANCK montre l'efficacité du processus de la théorie d'équivalence électrique de la chaleur, cette valeur étant corroborée par la valeur de l'impulsion originale (message du 01-03-2015.)

Le processus d'équivalence électrique de la chaleur est une possibilité grâce au système métrique décimal S. I, il nous donne les valeurs réelles des différentes grandeurs.




2_Équivalence électrique de l'inertie (ou masse) des particules


Avant de reprendre cette suite je dois dire que le 19 Juin2015 je me suis endormi à l'hôpital, puis dans une résidence de retraite ….....très agréable, mais sans i internet depuis lors ....ce dernier message était envisagé.


Je dois aussi rectifier un raisonnement dans le dernier message: les applications de l'électron positif (note, rédigé le jour de mon transfert à l'hopital)


La particule <é,> en électron, porte 4 énergies: deux inerties, constantes, une thermique, évanescente, et une électrique, constante.
Les énergies électrique et thermique sont sans inertie mais l'électron présente une inertie aux énergies de translation et rotation.
Le raisonnement est valable mais après calcul de l'inertie; pour remplacer la charge <é>, et c'est l'objet d'une nouvelle équivalence.

Quant au déroulement du phénomène d'évolution de l'énergie par le blocage des électrons, le calcul de l'énergie cinétique montre une valeur bien trop faible pour doubler la valeur d'ambiance, mais cette nécessité existe.
Dans les trois cas suivants, trois niveaux d'énergie, le blocage des mouvements supprime le rayonnement des photons, dont toute l'énergie disponible est libérée instantanément en plus de l'énergie cinétique, dans les trois cas la formule est :

Ei = h'*fr², (+énergie cinétique), une quantité d'énergie qui double la densité, ce qui, en haute température (1E33K) génère à 2E33K Ceci est le premier cas.

Avec la même formule, la décharge électrique entre nuages libère une quantité d'énergie plus faible, la partie des rayonnements en cours et augmente la température, c'est le deuxième cas.

Et de même pour le blocage par compression du moteur Diesel, où une faible énergie suffit, c'est le troisième cas,

Ces trois cas de perturbation par blocage agissent à trois niveaux d'énergie


Et le quatrième cas, en fusion froide, la réduction d'énergie cinétique, la formule est aussi simple:

Eff = Tt *( fr²a-fr²b), durée a-b indéfinie

Fn de correction


a._De l'équation de l'impulsion originale :
E = mC² /1E43 = h', il s'agit d'une quantité d'énergie cinétique, et une durée

b._De la formule d' EINSTEIN E=mC², une inertie et une vitesse, il s'agit d'un impact, une formule éprouvée,
h' =mC², dont on tire m=h'/C² soit
l'inertie Ié(=)(1,29925902990692E-10)/9E20 (=)1,143 E-31 cal ou cycle,
l'équivalent d'inertie, a,sous c,g,s,la même valeur en gramme-force: ié (=)1,43 E-31 grf, et la formule d'équivalence est h'(=)Ié*C² soit h'(=)1,43
E-31*9E20 =1,299…E-10 cal / cm cube ou
Eé (=)1,299…E-10 grf

En a_la formule de l'impulsion originale semble erronée, mais elle est incomplète: la formule d' EIINSTEIN concerne un mouvement unique , mais la durée d'impulsion, est fonction de la fréquence maximale, cela doit figurer dans la formule, qui devient:
h'/1E43=mC² / 1E43.
Cette formule montre que h' est indépendant de la fréquence, MAX PLANCK avait raison!

Note : Au Congrès Solvay de 1927, sur 40 scientifiques, deux ne signèrent pas la convention
onde-particule, encore en vigueur: PLANCK et EINSTEIN

Comme la constante C, h' a plusieurs définitions ; 1_une quantité de chaleur diffuse, 2_une unité de chaleur rayonnante, 3_un cycle, 4_une longueur d'onde, 5_une fréquence, 6_une durée


Masse ou énergie, c'est la même chose, disait EINSTEIN, mais disons masse en environnement neutre; l'expression d’EINSTEIN E = mC² vient de l'époque de la , le terme de masse « m » a plusieurs significations, mais l'inertie est bien une masse opposant une même force au mouvement dans toutes les directions:

3__Équivalence électrique de la gravité

a_La gravité est une force d'attraction portée par toutes les particules d'énergie ou d'inertie, dispersées par l'expansion. Le vecteur qui la porte est inconnu, mais la valeur est fonction de la densité d'énergie, donc proportionnelle à la température en kelvin, mesurée en fréquence.
De ce fait, la gravité ne peut limiter l'expansion,
Théoriquement, la formule est g = G/1E33) par K, soit
g (=) (1,299.............E-10 / 1E33)= 77431.37768642057 cycle par K,
ou g (=) (1,299……E-10 / 1-E43)(=) 1,299…E-53 cycle, par cycle, reste le problème d'acquisition de la fréquence.

Note : Nous connaissons l'effet de surface du solide : les atomes de surface sont déformés par effet de gravité des atomes internes (c'est ce qui interdit la reconstitution d'un solide après casse; et l'effet de surface des liquides : une goutte libre dans l'espace est sphérique pour la même raison, la gravité, bien qu'appelée tension superficielle; mais nous ne savons pas comment se présente une « goutte de chaleur » dans le vide, tel l'éther.

b_Une montée en température des particules, fait qu'à fr² = 1E43, la gravité bloque les mouvements et provoque ainsi une « explosion thermique » brutale, (messages du 18-02-2007 et 12-08-2013 ) et un doublé en température, 2E33K, par la disparition de l'énergie cinétique des électrons, c'est la libération instantanée de l'énergie des rayonnements bloqués . C'est un confinement destructeur, une compression totale par gravité, puis réaction des charges « é » toutes positives, d'où légère expansion limitée par gravité, et c'est Cosmos -1 (message du
12-08-2013)

La réaction des particules « é » (décompression électrostatique) forme l'impulsion originale qui rétablit l'aspect liquide et le refroidissement commence.

c_L'impulsion originale est une valeur finie, cela nécessite une force et une durée finies, une exigence que la description ci-dessus réalise.

d_Par le refroidissement, la densité diminue, la gravité aussi, lorsque la température tombe à 1E33K c'est Cosmos Zéro, (message du 12-08-2013).

e_La gravité ne peut plus retenir les particules de surface, d'abord les particules « é », les petites inerties, les photons, etc.., lentement, puis accélèrent, jusqu'à vitesse C, dans le vide, pour les photons, ces particules « é », transportant la chaleur, pendant que d'autres formaient la matière, ainsi est né l'Univers, mais nous ne connaissons pas la quantité totale d'énergie, pas plus que son âge.

f_Par le refroidissement, la densité diminue, la gravité aussi, lorsque la température tombe à 1E33K c'est Cosmos Zéro, (message du 12-08-2013).

g_La gravité ne peut plus retenir les particules de surface, d'abord les particules « é », les petites inerties, les photons, etc.., lentement, puis accélèrent, jusqu'à vitesse C, dans le vide, pour les photons, ces particules « é », transportant la chaleur, ainsi est né l'Univers, mais nous ne connaissons pas la quantité totale d'énergie, pas plus que son âge.

h_Par gravité encore, on pense l'éther sphérique et l'expansion s'est faite au détriment de Cosmos Zéro dont la gravité a diminué et vers la fin s'est divisée en groupes formant les galaxies.


i_Le refroidissement du Cosmos dans l'espace vide continue, théoriquement sous la loi de PLANCK, et thermiquement alimenté par le refroidissement des astres, brillants ou non, et fluctue au gré des trous noirs, des quasars ou autres réformes partielles, il en résulte un champ de gravité très varié.

j_Et le soleil se refroidit en échauffant son environnement, dont la Terre, et, à terme, détruisant la vie, c'est inexorable ! Ce sera la fin de l'humanité, mais encore loin de la fin du Cosmos, une période encore ténébreuse. La gravité de l'énergie h' est
1,299.....E-10/1E43=1,299.....E-53 cal par hz ou 1,299.......E-10/1E33=1,299......E-43 cal par K

k_Note : Cette force a été mesurée par NEWTON en 1687, mais le vecteur qui la donne est inconnu.

l_La température à l'extrême lointain a été évaluée 2,735 hz soit 2,735² cycles pour la trajectoire sphérique, soit 2,735²*h'(=)7.480225E-10 K ou cal/cm cube, ceci fait penser que c'est beaucoup, après 10 milliards d'années, la valeur minimum d'énergie thermique est h', et cette valeur, h', est la seule quantité définie de chaleur diffuse.

m_La gravité ne peut limiter l'expansion, et la réserve d'énergie cinétique est inépuisable.


4_Conclusions

a_La notion d'équivalence entre les énergies et l'inertie, nous donne les valeurs relatives et permet l'évaluation réelle, dans le domaine des particules, par une unité de force commune, la dyne, par exemple.

b_La mesure de gravité est maintenant accessible, mais le champ de gravité ne peut être exploré qu'en fréquence, reste ce problème expérimental.



Ce n'est pas encore la Physique générale, ce n'est que les énergies et matières ordinaires, en somme constante, dont il s'agit, il manque au moins, la Physique végétale et la Physique animale, dont la durée d'existence, relativement au Cosmos, est bien plus courte, mais où la vie intervient.

Cette évolution bénéficie des énergies cosmologiques, particulièrement de la chaleur, l'obsession actuelle, mais qui est cependant un élément de la vie, en voici un exemple :


5_La chaleur du cycle de KREBS

Ce problème de chaleur, se pose en Physique animale.
(un exemple de fusion froide, 4ème cas, message précédent)
Les réactions chimiques, au cours du cycle de Krebs, s'accompagnent de dégagements de chaleur, telle est l'observation, des centaines de calories, par des chercheurs en ce domaine, mais sans solution.

La nouvelle physique nous dit qu'à ce quatrième niveau d'énergie, toute source de chaleur a pour origine la réduction de l'énergie cinétique des inerties, dont les électrons.

Cette observation de chimie est à notre échelle, mais au niveau atomique, c'est la dégradation de l'énergie cinétique des électrons, convertie en énergie thermique sous la pression de gaz.

Note : il existe dans le commerce le générateur ROSSI utilisant ce phénomène sous la dénomination de « fusion froide » (message du 13-02-2011)

OBSERVATION

Chez nous cette action fait le maintien à 37 °C, et la chaleur est dispersée par le sang : « un petit chauffage central atomique », sans cela nous serions à température ambiante.

Cette action nécessite un asservissement, une technique moderne, analogue à l'asservissement de l'altitude d'un avion, par exemple.
Ces deux systèmes fonctionnent par un programme simple, comprenant une référence, une mesure d'écart, et une réaction qui l'annule continuellement par une technologie appropriée.

Notre température de 37°C se maintient par l'action des gaz, générés et dosés pour dégrader l'énergie cinétique des électrons atomiques du bol alimentaire et générer ainsi de la chaleur.

(La conversion de l'énergie cinétique en énergie thermique est constatée depuis longtemps mais non expliquée),
Les atomes, édifiés par attraction des particules « é », en vitesse C, autour d'une inertie forment des sphères virtuelles (en environnement neutre), ce qui permet une certaine pénétration des gaz, même dans un solide)

Ceci peut fonctionner plus de cent ans, j'en suis témoin, et plus étonnant, la Nature l'utilise depuis...la création animale !

Mais qui pouvait, alors, disposer de cette science ?

Note 1_Ce concept s'opposerait-il à la pensée de E. Kant : l'impossibilité d'une démonstration de l'existence de Dieu ?
Les grandes questions de la Philo
Maisonneuve et Larose

Notes 2_Ce dernier message fait la preuve de l'existence de Dieu, ce qui accrédite la création d'énergie, la constante cosmologique et de l'Univers.

3_ Et l'accélération de l'expansion qui intrigue les cosmologistes : incompréhensible en physique actuelle (M.Lachièze Rey_Au delà de l'espace et du temps p 143 ), est dû à l'évolution de gravité depuis un état confiné du Cosmos, à la naissance de l' Univers. Notre solution est ainsi corroborée (message du 18-12-2007 ) de l'espace et du temps p 143 )



6_Rappels

Cette étude a pour origine l'extensométrie, un système de mesure d'élasticité ra réalisé à l'ONERA en 1953 et décrit dans la Recherche Aéronautique n° 70, de 1959.

Cet appareil de mesure par opposition de tension a une fiabilité et résolution de + ou -
1/10 000ème de micron en service normal
C'est cette sensibilité, portée à 0,1 Angström, qui m'a permis de comprendre la physique du solide élastique, l'atome et la suite (message du 26-01-2012)

La suite est une reprise, quarante années plus tard , pour 'passer le temps', avec deux collaborateurs, François BONET, ancien de l'Aérospatiale et Georges DEVACHT, informaticien, en activité jusque fin 2010, l'un palliant mes difficultés visuelles ; le second, mon insuffisance en informatique étant moi-même en retraite depuis 1975.
Quelques extraits du premier message, la motivation de l'étude :

Etienne KLEIN , « Regards sur la matière » ( 1-1993 )
« La physique quantique : c’est un paradoxe, tous les physiciens l’utilisent, mais personne n’est capable de lui donner un sens précis. »

Michel CASSE , « Du vide et de la création » ( 1-1994 )
« .... mais ces équations ne parviennent pas à nous donner une compréhension du mécanisme physique qui engendre le spin. »

Roger PENROSE , « Les deux infinis et l’esprit humain »
( 2-2002 )
« ....mais tous les professionnels considèrent ce processus hybride comme une théorie fondamentale . »

Bernard DIU , « Traité de physique à l’usage des profanes »
( 1-2001 )
« Aucune des particules les plus fondamentales telles que l’électron ou le photon, ne virevolte vraiment sur soi , et la plupart pourtant possèdent un spin ; c’est qu’il s’agit d’une grandeur purement quantique, qui n’a pas sa contrepartie en mécanique classique . »

Murray GELL MANN , « Le quark et le jaguar » ( 3-1995 )
« Le concept utile d’isospin avait voyagé avec un bagage intellectuel inutile dont le temps était venu de le débarrasser. »

Stephen HAWKING et R. PENROSE , « La nature de l’espace et du temps » ( 3-1997 )
« Quelle que soit la réalité, il nous faut expliquer la façon dont nous percevons comment est le monde. La mécanique quantique n’y parvient pas, il faut lui ajouter quelque chose qui n’est pas inclus dans les règles standards de la mécanique quantique. »

Sven ORTOLI et J.P. PHARABOD , « Le cantique des quantiques » ( 4-2000 )
« Pour EINSTEIN et plus encore pour ses partisans, le côté flou et indéterminé de la physique quantique ne peut satisfaire un scientifique . Ce sont des variables cachées ...... »

Et bien sûr,

Richard FEYNMAN , « Le cours de physique de mécanique quantique » ( 6-2001 ) , la référence en ce domaine depuis 1965 .

Entre autres :

« Nous avons dit que toute particule de spin 1 peut avoir trois valeurs pour «J » ....mais la lumière est un peu tordue, elle n’a que deux états. »

Puis ,

« une particule de masse nulle n’a en général qu’un seul état de spin. »

Fin des citations


7_BIBLIOGRAPHIE (message du 08-08-2008 )


de la Résidence Léopold Bellan à Mantes-la-Jolie 07-2016