vendredi 7 septembre 2012

Onde-corpuscule, éther et lumière








Onde-corpuscule, éther et lumière


Nouvelle Physique …. sur les pas d'EINSTEIN



André DEVACHT , François BONET , Georges DEVACHT



Sommaire



1°) Préambule

2°) Onde-corpuscule

3°) Éther

4°) Lumière

5°) Gravité

6°) Résumé



1°) Préambule

La Physique du XX° siècle est restée embryonnaire, faute de théorie validée, les applications se limitent à l'électromagnétisme et le raisonnement mathématique.

Les définitions des particules principales, photon et électron, sont encore en attente, le tableau des particules, modèle standard, en fait foi, il est figé.

Et malgré le développement technologique des radio-transmissions, dues à HERTZ (1907), il en résulte des incohérences et des limitations, c'est l'impasse.



La Physique est en sommeil, pour s'en convaincre, voir :

forum G.S.J. Physics, Dualité onde-corpuscule et vitesse de la lumière; c'est un constat sévère ! Les discussions rapportées témoignent des difficultés d'interprétation, depuis des décennies, des résultats mathématiques.



Les incohérences en Physique sont préjudiciables aux recherches en d'autres

disciplines, médicales par exemple.

Suivant le raisonnement analogique d'EINSTEIN, nous pouvons reprendre la description de ces phénomènes en tenant compte de l'évolution des connaissances depuis lors, comme précédemment pour le photon, l'électron, l'atome, l'unité d'énergie, l'énergie atomique, etc, en :



Nouvelle Physique ….. sur les pas d'EINSTEIN





2°) Onde-corpuscule

Ce phénomène est compréhensible si l'on admet que le corpuscule n'est visible qu'en impact sur plaque photographique, effet de la fréquence très élevée d'une charge électrique, et c'est le cas : ce grain d'énergie thermique virevolte à fréquence fr² , fr étant la fréquence observable. Il s'agit du photon.



En effet, c'est la théorie mathématique de Max PLANCK en 1900.

Ce corpuscule, une charge électrique tourne sur un axe à 45° de la trajectoire, et simultanément autour de la trajectoire, le champ magnétique construit l'onde observable, à fréquence fr. Ce mouvement est décrit schématiquement sur physique 2005, ( 10-02-2006 ) et défini sur le blog suivant : http://physiqueclassique2005.blogspot.fr/ en Nouvelle Physique .... sur les pas d'EINSTEIN ( 1 mars 2011 ) .



Par l'étude du 'corps noir' , Max PLANCK trouvait mathématiquement, une possibilité d'oscillation limite de l'énergie vers 10^43 cycles par seconde, et pensait que cela n'aurait aucune utilité ( revue de physique allemande, dans Max PLANCK Wikipedia 2010 ) .

A titre de curiosité cela correspond à une particule de :

λ = C/10^43 soit = 3*10^-25 A° la dimension de la charge électrique !



3°) Éther

Ce 'grain d'énergie' du photon, en fréquence non observable se refroidit en dispersant de la chaleur : une quantité par période, la constante de PLANCK,

6,626*10^-34 J.s ( wikipedia )

S'agissant de chaleur diffuse, exprimée en calorie

(6,626-10^-34)/4,18 = 1,585*10^-34 calorie (h) (hca)

ce qui correspond à une élévation de température de

1,585*10^-34 °C /cm^3 d'eau (=) , une densité .



Cette quantité de chaleur, infime, dispersée en volume, par la rotation de la particule, donc à vitesse C, se dilue encore beaucoup plus et s'étend vers le vide0, à 0°K, et forme un champ thermique scalaire (condition du condensat de Bose Einstein).



Ainsi pour une énergie thermique très infime, à quelques degrés Kelvin, des lois de Physique bien établies : l'équivalent mécanique de la chaleur, plus la conversion de l'énergie cinétique :

quantité de chaleur = quantité de mouvement (a) semble changée , nous avons : quantité de chaleur = - quantité de mouvement (b)

Ceci montre qu'une autre force s'oppose au mouvement d'expansion :

La force de gravité délimite l'espace sphérique de l'éther dans le vide (de même que la gravité délimite la forme sphérique de la goutte d'eau sous l'appellation de tension superficielle, de même la gravité délimite les surfaces d'un barreau d'acier cassé, d'où l'impossible raccordement; ce sont des interactions analogues en fluide gazeux, liquide et solide ).



Cette interaction se manifeste depuis la naissance de l'univers, formant un champ thermique résiduel, vectoriel, (a) puis scalaire (b), avant d'atteindre le niveau bas.

La valeur actuelle 2°735 est l'interprétation de la fréquence mesurée : 2,735 hz l'énergie est , en fréquence non observable 2,735² = 7,48 hz , ce qui représente une quantité d'énergie thermique de : h*7,48

( 1,585*10^-34 )*7,48 = 1,185*10^-33 calorie

dispersée par chaque photon aux confins de l'univers, sous volume non défini;

mais le volume du photon permet de connaître sa densité et température

fréquence 7,48 hz .

λ =C/7,48 = 3*10^10 /7,48 = 4,01*10^9 cm

R = 4,01*10^9 / 2π = 6,382*10^8 cm

volume 4/3 π R^3 = 4/3*π*2,599*10^26 = 1,088*10^27 cm^3 (v)

densité = ca / V (1,185*10^-33) / (1,088*10^27) = 1,089*10^-60 calorie

température 1,089*10^-60 °K , aux confins de l'Univers .

( Le calcul du volume du photon est simplifié pour ne pas nuire au raisonnement ) .

A la naissance de l'univers, partant de Cosmos zéro, les rayonnements des particules, en haute température, photons, à vitesse de 0 à C, et masses, à vitesse de 0 à V, ( note 1 ) ont assuré la distribution de chaleur diffuse, la réalisation de l'espace univers, dans le vide .

Note 1 : Ces conditions de vitesses relatives , ont favorisé la création des atomes .

Le refroidissement a épuisé progressivement Cosmos zéro, mais au cours de cette évolution, la réduction de Cosmos zéro a fait chuter la gravité et bloqué le processus avant l'épuisement total, le reste formant les galaxies .



4°) Lumière

Les rayons lumineux, plus précisément, les photons actuels voyagent, non pas dans le vide, mais dans le champ thermique résiduel, l'éther, le champ magnétique du photon repoussant l'énergie thermique, ce milieu parfaitement élastique, le grain d'énergie du photon demeurant inobservable par son mouvement complexe .



Ce que l'on observe, n'est pas le mobile, mais la trace des déformations du champ thermique résiduel, l'éther, par le signal magnétique du photon, comme le fait le signal magnétique d'une onde radio.



L'observation est limitée actuellement à 10^17 ou 10^18, techniquement, le maximum étant de 3;16*10^21 .



Le refroidissement libère de la chaleur, la constante de PLANCK, sous forme

fluide : la chaleur diffusée, en toutes directions, passe de la densité du photon à celle de l'éther, en un court instant, peut-être moins d'une période, et à une certaine plage de température, la chaleur diffusée, sensibilise nos yeux.



C'est aussi le cas, (la sensibilité des yeux), pour les rayons solaires, les étoiles ou le corps incandescents, mais ceux issus de Cosmos zéro sont froids depuis longtemps , vers 0 °K , et c'est pourquoi la nuit est noire .



Cependant, après la naissance de l'univers, les particules libérées ont généré une grande luminosité avant l'expansion brutale due à la création des atomes.





5°) Gravité



Le champ de gravité est un phénomène universel , un champ de forces centripètes , proportionnel à l'énergie d'inertie .



Note au sujet du Boson de Higgs :



La valeur de l'impulsion originale est E=mC² = éV*C² soit :



Ei = ( 1,602 176 565*10^-19 )*( 9*10^20 ) = 1,44196*10^2 éV



Cette grandeur , est générée par 'l'explosion thermique' due au Big-Crunch , mais la durée de l'impulsion est inconnue .



La mesure, ou évaluation est impossible, la masse totale de l'Univers étant inconnue. De plus, après 'l'explosion thermique', ce phénomène fondamental, les éléments reconstitués ne sont pas forcément ceux de la table de Mendeleïev .



Hypothèse corroborée par les observations de la composition variée des planètes lointaines : le recyclage paraît ainsi non global, mais aussi partiel, sous l'effet de la gravité et du phénomène fondamental, l'effet 'trou noir', par exemple .





6°) Résumé

Le photon porte une quantité de chaleur, en haute densité et doublée d'énergie cinétique, en vitesse C, c'est un vecteur thermique .



La constante de PLANCK est aussi l'unité d'énergie thermique diffusée qui a constitué l'éther, la bulle de chaleur transparente qui englobe notre Univers, aidée par la conversion éventuelle, partielle ou totale d'énergie cinétique des particules et masses.



L'éther, la chaleur diffuse se comporte comme un fluide gazeux, éjecté en vitesse C, et dispersée en très faibles valeurs, une détente qui aide au refroidissement.



La lumière est due à un état furtif (bande de fréquences sensibles à nos yeux) de la chaleur dispersée en toutes directions, par le grain d'énergie du photon; c'est un champ thermique, visible en partant du photon puis devient invisible et forme l'éther.



La gravité et le phénomène fondamental, l'explosion thermique, 'malaxent' l'énergie d'inertie, mécanique ou thermique, tel un moteur perpétuel !



La relativité est respectée, et l'expérience de MICHELSON et MORLEY est compréhensible .



A.Devacht , François Bonet , Georges Devacht