mercredi 8 octobre 2014

Raisonnements

Physique de l'univers

Raisonnements

par André DEVACHT

La Physique appliquée est maintenant incohérente et figée, le problème n'est pas l'imprécision mathématique.

Une longue étude des incohérences dues, en partie, aux données initiales négligées, nous a conduits à élaborer les bases d' une Nouvelle Physique... sur les pas d'EINSTEIN, par des raisonnements logiques ou analogiques.

Ainsi, partant des connaissances acquises depuis plus d'un siècle, nous admettons que, sous l'impulsion originale, en vitesse linéaire C, la particule <é> tourne sur elle même, puis autour d'une masse, par attraction, l'effet gravité de cette masse.

Ceci provoque, par les forces de Coriolis, l'édification des atomes, en trajectoire sphérique; ce sont les particules élémentaires de MENDELIEV.

L'impulsion propulse donc seulement deux composants différents, des charges électriques identiques et diverses masses, pouvant former la matière, au hasard de l'attraction par gravité.

Des charges <é>, en mouvement, sont appelées électrons, et présentent trois énergies : électrique, cinétique, et thermique.

1_En l'absence de toute énergie, la température est de 0 Kelvin. Moins que rien n'existant pas, il n'existe pas d'énergie négative, on peut en déduire que la charge <é> est positive, l'électron est donc de signe positif, contrairement à ce qui est enseigné depuis plus d'un siècle, donc pas de charge électrique négative.

2_L'énergie cinétique implique une inertie, la charge <é>, bien qu'énergie, présente donc une inertie, contrairement à l'enseignement courant.
La réduction de vitesse des électrons par frottement interne (sous hydrogène, comme par exemple dans le générateur ROSSI ) génère de la chaleur : ce phénomène est appelé fusion froide.

La réduction de vitesse des électrons par frottement entre eux génère aussi de la chaleur ! C'est la raison de l'échauffement d'un conducteur au passage du courant électrique, à cause de l'inertie de la charge <é>.

Le blocage du mouvement de la charge <é> supprime sa trajectoire sphèrique, et augmente la chaleur d'une quantité correspondant au transfert de l'énergie cinétique en énergie thermique. La particule libérée perturbe de même les atomes voisins, c'est ce que j'appelle l'explosion thermique.

Ce blocage peut être le résultat de diverses perturbations telles chocs ou compressions; c'est le cas pour la dynamite, l'amorce d'arme à feu, la bombe atomique, etc..

L'éviction du noyau libère le ou les électrons, supprimant la ou les trajectoires sphèriques et le résultat est le même que précédemment.

3_Energie thermique : température et fréquence sont liées, c'est une évidence, tout échauffement, de source interne ou externe à l'atome , peut conduire à la limite 10^43 cycles / seconde, fr², et c'est l'explosion thermique. C'est le risque majeur des centrales atomiques actuelles.

REMARQUE : l'électron est encore actuellement noté négatif, ce qui bloque le raisonnement concernant l'énergie atomique (énergie dite nucléaire).

Au cours d'une explosion thermique, l'impulsion originale a lieu sous haute densité de chaleur, et pendant l'impulsion, la gravité du confinement thermique est telle que certaines charges <é> sont attirées en trajectoires sphériques et transportent la chaleur en vitesse C, ce sont les photons, un rayonnement qui peut être lumineux : la vitesse de la lumière est la vitesse de la particule ayant la plus faible inertie, la particule <é>.

Chaque photon comporte une charge <é>, ce qui est vérifié par exemple par la capture d'énergie électrique par les panneaux solaires, et permet de comprendre l'orage qui est une accumulation de charges par les molécules d'eau.

Le rayonnement lumineux est un courant de photons comportant chacun de la chaleur et une charge <é>.
Pour définir le photon et la constante h, une équivalence énergie thermique (=) fréquence peut être envisagée.
Il s'agit cette fois d'un raisonnement analogique que j'ai proposé en discussion sur internet.

PROPOSITION

Dans le prolongement de mon activité professionnelle, je continue d'essayer de comprendre des aspects de la Physique qui n'ont pas encore été vraiment explicités, comme le conseillait Louis De Broglie :
« L'histoire des Sciences montre que les progrès de la Science ont constamment été entravés par l'influence tyrannique de certaines conceptions que l'on avait fini par considérer comme des dogmes. Pour cette raison, il convient de soumettre périodiquement à un examen très approfondi les principes que l'on a fini par admettre sans plus les discuter. »

Je me suis rendu compte que la constante de Planck est donnée par de nombreuses sources avec des résultats différents. Hors, mes travaux en métrologie m'ont conduit à raisonner de la façon suivante :

Dans le calcul de cette constante, il manque la relation fréquence – température.
La mesure de température est une évaluation de densité de chaleur par cm3.
L'unité de chaleur est la calorie, une grandeur difficile à mesurer, par la température en degré centigrade ou Celsius, mais en kelvin, un degré vaut une calorie, par principe, une unité naturelle, bien définie.
Dans la définition du kelvin, quantité de chaleur par cm3 = 1 calorie, (il s'agit donc d'une densité) ce volume peut être cubique ou sphérique et dans ce cas, la circonférence est la longueur d'onde de la fréquence équivalente, un raisonnement analogique .

Le volume d'une sphère est de 4/3 π R3, donc pour 1 cm3, le rayon est de 0,620 350 490 899 40 cm, la longueur d'onde : L = 2 π R = 3,897 777 089 720 75 cm, et la fréquence thermodynamique (trajectoire sphérique) :
Fr² = C / L = 7 696 694 631,182 53 Hz appelée « fca », Fréquence / Calorie

Le rayonnement lumineux, le photon, est ainsi défini en fréquence électromagnétique, il comporte donc de la chaleur et une charge « é ».
Une autre équivalence énergie thermique <=> fréquence, peut être envisagée, ce qui permet de définir une nouvelle valeur de la constante de Planck, que nous noterons « h' ».

La constante de PLANCK ( h' ) : en énergie thermodynamique ou diffuse :
h' = 1 ca / 7 696 694 631,182 53 Hz = 1,299 259 029 906 92 ×10-10 calorie/cm3, ou K.
(Rappel : en physique actuelle h conseillée ≈ 6,62606957×10-34 J⋅s2 )

Cette nouvelle équivalence permet par exemple d'évaluer les températures des photons de façon simple : t = h'*fr² (fr = fréquence observable).
Ainsi pour un photon à 14 mégaherz :
t = (14*10^6)²*h' = 25465,4769

Cette proposition a reçu la censure de la « modération »

Cependant l'électromagnétisme ne suffit pas pour décrire l'Univers, ce n'est qu'un premier chapitre, un second s'ouvre avec la chaleur,l'ensembe ne concernant que la matière ordinaire ,
Une discussion aurait permis de préciser que cette valeur de température et densité par photon peut être complétée par la mesure du courant de photons pour connaître l'énergie du rayonnement.

Ce raisonnement ne s'applique pas à la chaleur diffuse qui n'est plus délimitée par une charge <é>; la chaleur s'évacue perpendiculairement à la trajectoire, en vitesse C, tangentielle au photon, et de façon évanescente.

CONCLUSION

Pour conclure cette recherche, je pense que c'est dans cet esprit, sans doute, que résonnaient EINSTEIN et PLANCK au Congrès Solvay en 1927, un sommet de scientifiques, pour orienter la recherche.

Après les auditions des participants et discussions, vinrent les résolutions :
une interprétation du dilemme onde-corpuscule en fit un verrou, malgrè De Broglie qui y voyait deux fréquences, il était sur une bonne voie, et pour le reste, des unités conventionnelles et les mathématiques furent conseillées.

A l'oeuvre, c'est bien pour la technologie, mais une impasse pour la Physique.

Les raisonnements, logiques ou analogiques, permettent d'acquérir des données initiales d'une Physique cohérente en mathémarique et tenant compte de tous les phénomènes connus sur Terre, une Physique de l'Univvers, ce qui manque en ce moment pour traiter les problèmes d'énergie et d'environnement.

Aucun commentaire: